dimanche 19 mars 2017

«Dans les endroits tranquilles, la raison abonde.»


Personnellement, ce n'est pas la tranquillité qui manque dans mon château ce soir.

C'est un peu comme si j'éteignais toutes les lumières dans ma tête, je me concentre à faire une heure de recherche sur google pour une simple recette de <croustade aux pommes> et je dois diviser par trois les ingrédients de base.

Je suis très fière de moi
Je me fais plaisir à cuisiner juste pour moi
Cette semaine, j'me suis étonnée moi-même à me faire cuire un délicieux steak avec frites juliennes maison et pour la cochonnerie...une banane au caramel fondu...(rien de sexy).
Je dois vous dire que plus d'une fois, je mange un sac de chips BBQ au souper, quelques tablettes de chocolat dans la soirée et beaucoup ...beaucoup...de peanuts (Planters Arachide Grillées à sec).
À travers tout ça, j’ai trouvé une recette comme ma mère me faisait régulièrement lors de nos ptits soupers …..des <galettes de morue>!!!!!
Fifille2 m'avait donné un beau morceau de morue et à chaque fois que j'ouvrais mon congélo je me demandais comment j'allais le préparer...demain soir je me promets un bon souper.

Pour moi la cuisine fait partie de nos ptits bonheurs, faire à manger c'est le don de soi en aimant la vie et ses plaisirs. Heureusement que je peux manger de tout, je ne monte pas souvent sur la balance, alors j'en profite.

J'aime bien lire des histoires qui parlent d'amour.
Ce texte en particulier me colle à la peau ce soir, je recherche énormément la tranquillité

«Dans les endroits tranquilles, la raison abonde.»
-Adlai E. Stevenson- 

Advienne que pourra.....
Lolo la plus qu'imparfaite et parfaite xxx

 Le meilleur état de la vie, ce n’est pas d’être amoureux-se, mais d’être tranquille
Avec le temps, nous découvrons que le meilleur état de la vie, ce n’est pas d’être amoureux-se, mais d’être tranquille. Il n’y a que lorsqu’une personne parvient à atteindre cet équilibre intérieur, où rien n’est de trop et rien ne manque, qu’elle se sent plus comblée que jamais. L’amour peut alors apparaître si elle le souhaite, mais ce n’est pas une obligation.
Il est curieux de voir que la plupart des gens ont pour principal objectif de trouver le conjoint parfait. Nous avons de plus en plus d’applications mobiles pour faciliter ces recherches.
Les émissions de télévision qui passent aux créneaux d’audience maximale sont également orientées dans ce but. Nous cherchons et cherchons dans ce vaste océan, mais sans avoir fait au préalable un voyage indispensable : celui de la connaissance de soi.
«On ne peut jamais obtenir la paix dans le monde tant que nous n’avons pas la paix en nous».-Dalaï Lama-
Le fait de ne pas avoir réalisé cette pérégrination nécessaire en nous, pour approfondir nos vides et nos besoins, mène souvent à des erreurs dans le choix des compagnons de vie. Des relations éphémères qui restent inscrites dans la solitude de nos oreillers, remplis de nos rêves brisés et de nos larmes épuisées. À tel point que beaucoup de personnes passent une grand partie de leur vie à sauter de pierre en pierre, de cœur en cœur, stockant les déceptions, les amertumes et les désenchantements tristes.
Au milieu de ce décor, comme l’a fit Graham Green, dans son roman La fin d’une liaison, nous n’avons que deux options : regarder vers l’avant ou regarder vers l’arrière. Si nous le faisons en nous servant de l’expérience et de la sagesse, nous prendrons le bon chemin : celui de l’intérieur. C’est là que nous mettons en ordre le labyrinthe de nos émotions pour trouver le précieux équilibre.
Le meilleur état dans la vie est d’être tranquille
La tranquillité ne se traduit pas par l’absence d’émotions. Elle n’implique pas non plus de renoncer à l’amour ou à cette passion qui nous rend plus digne, celle qui nous donne des ailes et des racines. La personne tranquille n’évite aucune de ces perspectives, mais sait très bien où se trouvent les limites, où se trouve cette modération qui, comme un phare dans la nuit, illumine notre paix intérieure.
«Que la tranquillité est belle !»-Périandre de Corinthe
Nous vivons dans une culture de masses où on nous presse de chercher un conjoint comme si nous pouvions atteindre enfin la fameuse réalisation de soi par ce biais. Des phrases telles que «Quand j’aurai un-e copain/copine, ma tête sera plus stable» ou «Toutes tes peines seront soulagées quand tu rencontreras l’homme/la femme idéal-e» ne font rien d’autre qu’annuler notre identité en permanence pour ériger une idéalisation absolutiste et erronée de l’amour.
Le meilleur état de l’être humain n’est donc pas d’aimer au point de s’annuler lui-même. Ce n’est pas de tout donner jusqu’à ce que nos droits vitaux partent en fumée à cause de cette peur panique de rester seul-e-s. Le meilleur état est d’être tranquille, avec une harmonie intérieure adaptée où il n’y a pas d’espace pour les vides, pour les attachements désespérés ou les idéalisations impossibles.

Car l’amour, quoi qu’on nous en dise, ne justifie pas toujours tout. Et il n’implique surtout pas que l’on s’abandonne soi-même
.

Comment atteindre la tranquillité intérieure ?

Antoine de Saint-Exupéry a dit un jour que le champ de la conscience était limité : il n’accepte qu’un problème à la fois. Cette phrase renferme une réalité évidente. Les gens accumulent une infinité de problèmes, d’objectifs, de besoins et d’aspirations dans leur esprit. Il est curieux de voir qu’il y a des personnes qui en arrivent à croire que l’amour résout tout, que c’est un remède multitâches qui guérit et remet tout en ordre.
«Dans les endroits tranquilles, la raison abonde.»-Adlai E. Stevenson-
Cependant, avant de nous lancer dans le vide en attendant d’avoir de la chance en amour, le plus adapté est d’y aller petit à petit. La première chose sera d’atteindre le calme, cette tranquillité intérieure où réorganiser nos puzzles personnels pour acquérir force et modération. Réfléchissons à présent à une série de dimensions qui peuvent nous aider à parvenir à cela.
Quelques clés pour trouver l’équilibre intérieur
Que vous le croyez ou non, dans la vie, il arrive toujours un moment où cela arrive. Ce moment où nous nous disons à nous-même : «Je veux du calme, je veux trouver mon équilibre intérieur«, pour être tranquille. C’est une manière exceptionnelle de favoriser notre croissance personnelle et pour y arriver, rien de tel que de promouvoir ces changements.
La première chose à faire, c’est apprendre à faire le tri entre les relations qui comptent vraiment pour nous et celles qui ne sont pas satisfaisantes. Personne ne peut atteindre cette tranquillité s’il entretient un lien nocif avec un proche, un-e ami-e ou un-e collègue de travail.
La seconde étape consiste à prendre une décision essentielle : cesser d’être victime. D’une certaine manière, nous le sommes tou-te-s : victimes de nos insécurités, de nos obsessions ou de nos limites. Nous devons être capable de reprogrammer nos attitudes pour alimenter notre courage, suffisamment pour démolir ces barrières de barbelés.
Une fois que vous avez réussi les deux étapes précédentes, il faut atteindre un ultime et merveilleux palier. Nous devons avoir un objectif, une détermination clair et définie : être heureux-se. Nous devons cultiver ce bonheur dans lequel, enfin, on se sent bien comme on est et avec ce que l’on a et que l’on a réussi. Cette complaisance nourrie par les racines de l’amour propre nous apportera sans aucun doute un grand équilibre.
Les personnes dont le cœur respire l’équilibre et dont l’esprit habite dans la tranquillité, ne voient pas l’amour comme un besoin ou comme un désir désespéré. L’amour n’est pas quelque chose qui arrive pour les sauver, car la personne tranquille n’a plus besoin d’être sauvée. L’amour est un trésor précieux que l’on trouve et que l’on décide, par liberté et par volonté, de choyer. Car c’est le sentiment le plus beau du monde.
Source : nospensees.fr

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