mercredi 31 janvier 2018

Peut être un jour je serai une vraie artiste



Aujourd'hui, Max m’a invité à souper à la Brasserie de St-Agathe et j’en ai profité pour voir sa nouvelle mézon dans la montagne, il s’ennuie de son Hélène.

Je me suis trouvé une nouvelle activité depuis hier soir, je transforme des photos de bricolage d'enfants en photos intéressantes.
J'ai un plaisir fou, cela ne me coute pas un cent d'investissement. 

Victoire!!! j'écoute moins la télé et je joue moins sur les jeux insignifiants d'internet.

Bizarre...bizarre, hier après-midi mon réveil matin a sonné à 1-11h pour aucune raison et ce matin j'ouvre mes yeux sur mon réveil, il indiquait 11h11h.
Tu parles d'une coïncidence....
Un paquet de théorie sur internet sur la synchronicité des heures, les anges veulent me passer un message urgent, mais je ne sais pas lequel.


Lolo la plus qu'im-parfaite XXX

 Les poissons








dimanche 28 janvier 2018

Toutes ces choses que je pourrais faire si je n’avais pas peur…

 Un article m’a scothché sur Facebook en revenant du billard.

Toutes ces choses que je pourrais faire si je n’avais pas peur… tu parles d’une question!!!….je sais bien que Max m’a suggéré de mettre des sujets légers sur mon blogue, mais bon!…je trouvais ça intéressant, surtout que je suis une très bonne sujette à la peur.

J’ai peur de certaines fins de mois, mais ce n’est pas la fin du monde, est-ce vraiment une peur ou simplement une inquiétude qui surgit de mon insécurité financière….j’y pense…j’y pense…j’y pense, c’est bizarre pour le moment il n’y a aucune idée qui me vient à la tête, pourtant quand je lisais l’article en question, toutes les peurs de ma vie surgissaient comme un raz de marée derrière ma clôture.

Peur de l’amour…c’est bien possible, j’ai vraiment plus le goût d’avoir mal, je me sens très bien célibataire.

Peur de quitter un emploij’ai toujours envié l’état des chats face à leur nonchalance et leur indépendance. Cybèle et moi sommes les chattes de la maison. La retraite me permet de profiter pleinement de ma vie et en ce moment elle me plait bien. Toute la famille tient la forme et je suis en santé, j’ai même décidé de donner quelques heures de bénévolat au travail d’Emmanuelle au Centre d’entraide à St-Eustache et je suis fière de moi.

J’ai peur de dire ce que je pense...Quelquefois oui j’ai peur de dire ce que je pense et je me dis, j’achète la paix par mon silence, ou bien c’est trop niaiseux pour le dire, ou bien, trop intelligent pour former des mots.

J’ai peur de voyager car j’ai peur qu’il m’arrive quelque chose...OH OUI!!! j’ai peur de voyager, surtout à l’étranger, je détesterais me retrouver dans un pays qui subit des catastrophes autant écologiques que politiques.

Je constate finalement que mes plus grandes peurs sont le vieillissement, la maladie, la mort et la souffrance comme des milliards d'humains.

Ce qui rend heureuse une personne ne rend pas forcément heureuse une autre : c’est ce qu’il y a de plus vrai.

Peur pas peur… on finit toujours par changer et la vie continue.

Lolo La Plus Qu’imparfaiteXXX

Toutes ces choses que je pourrais faire si je n’avais pas peur…
 8 mars 2016 dans Emotions
J’ai peur de l’amour car on m’a fait mal une fois et j’ai peur de retomber et que l’on me refasse souffrir. J’ai peur de quitter un travail que je n’aime pas car je ne sais pas si j’en trouverai un autre ou si j’arriverai à payer mes factures.

J’ai peur de dire ce que je pense et je me tais, pour éviter qu’on me rejette ou parce que je crains la réaction que peuvent avoir les autres. J’ai peur de voyager car j’ai peur qu’il m’arrive quelque chose.

Cependant, aimer c’est toujours prendre un risque. Changer aussi est une issue et être nous-mêmes est une nécessité.

Pourquoi avons-nous si peur de prendre ce risque ? Pourquoi avons-nous un système de croyances profondément enraciné qui nous pousse à généraliser ce qui nous rend heureux, sans considérer que ce qui rend heureuse une personne ne rend pas forcément heureuse une autre?

“Certains parents sont prêts à tout faire pour leurs enfants, sauf les laisser être eux-mêmes.”
-Bansky-

De quoi avez-vous peur ?
Lorsque nous sommes enfants, nous n’avons pas peur de beaucoup de choses. Mais au fur et à mesure que nous grandissons, nous commençons à introduire dans notre cerveau des règles pour régir notre peur sur la base de l’expérience : “j’ai peur de le quitter, même si je suis malheureuse, car je ne sais pas être seule”, “j’ai peur de changer de travail, même si je n’aime pas du tout mon travail actuel”…

Cependant, imaginez un instant comment sera votre vie dans 5 ans si vous ne changez rien. Alors, de quoi avez-vous le plus peur ?

“Sois le changement que tu veux voir dans le monde.”
-Mahatma Gandhi-

Le fait de s’ancrer et de ne pas vouloir changer est dû à l’émotion de peur. Cependant, comme toute autre émotion, la peur peut être gérée et modifiée.

Lorsque les personnes n’ont plus peur, elles font ce qu’elles veulent de leur vie et non pas ce que les autres voudraient qu’elles fassent de leur vie. Ainsi, la première chose à faire est d’identifier l’origine de la peur, pour pouvoir ensuite l’affronter.

La peur du changement
Souvent, tout au long de notre vie, nous nous plaignons d’une multitude d’aspects qui nous dérangent, qui nous énervent, qui nous rendent malheureux, et qui nous font mal.

Cependant, vous êtes-vous déjà demandé si vous aviez fait quelque chose pour changer tout ce qui ne vous plaît pas ?

Ce qui nous fait peur en réalité, c’est l’échec. Cependant, nous devons toujours avoir conscience que l’incertitude fait partie de la vie et que nous ne pouvons jamais savoir avec exactitude ce qu’il va se passer. Ainsi, nous devrons apprendre à travers l’échec.

La peur de la liberté
La liberté suppose une responsabilité, car nous ne dépendons plus des autres mais de nous-mêmes. Rien ne sert d’attendre que le travail de nos rêves tombe du ciel ou que le conjoint que nous désirons apparaisse comme par magie.

Tout type de rêve suppose le courage d’assumer la liberté que nous désirons. Car être libre c’est pour les courageux.



La peur de reprendre les rênes de sa vie
Nous avons peur de reprendre les rênes de notre vie mais nous admirons ceux qui y parviennent, ceux qui laissent tout pour réaliser en voyage autour du monde, ceux qui quittent leur travail pour se dédier à ce qui les passionne.
   
La question qu’il faut se poser est : êtes-vous réellement la personne que vous voulez être ?

Prendre les rênes de sa vie signifie prendre les décisions qui vous portent vers le chemin que vous avez choisi, sans prendre en compte les autres personnes qui prétendant savoir ce qui est bon pour vous et pour votre vie.

Qu’aimez-vous véritablement ? Que vous dit votre coeur ? Écoutez votre coeur, il ne se trompe pas.
Êtes-vous suffisamment courageux pour changer ?

Prendre les rênes de sa vie, laisser derrière soi ses peurs, prendre le risque de la liberté, être responsable de soi-même sont des actes de bravoure.

Nous sommes tous capables de surmonter et de vivre la vie que l’on désire et pour cela nous aurons besoin d’une grande dose de courage.

Cependant, une fois que vous aurez vaincu cette peur dans une parcelle de votre vie, votre capacité à prendre des risques augmentera, car vous serez conscient qu’on apprend toujours et que l’échec fait partie de votre vie, mais que lorsque vous exercez votre liberté vous serez chaque fois un peu plus près de vos rêves.

“Ton temps est limité, alors ne le gâche pas en menant une existence qui n’est pas la tienne.”
-Steve Jobs-

mardi 23 janvier 2018

Victor Hugo « puisque l’intuition est surhumaine il faut la croire »



S’il y a bien quelqu’un qui me fait rire aux éclats sur messenger c’est mon ami Max.

Depuis près de 3 ans que l’on se connait, au début c’était une simple relation virtuelle un peu guindée et avec le temps nous clavardons à l’occasion sur Facebook dans une orthographe digne de mention de la Novlangue pour ceux qui connaisse Orwell 1984.

 (https://fr.wikipedia.org/wiki/Novlangue)

C’est un concours presque à chaque fois à voir lequel de nous deux peut déformer le plus de mots. 

 Exemple
ha? jeu qu'on prend. Sait une bonne inissiatyve :ha? Je comprends c’est une bonne initiative..
Meudmande skeussavodoné..ok c mieu, jmeudizé. :Je me demande ce que cela va donner..ok, c’est mieux, je me disais.
cérepozan : c’est reposant


tatuvulafasskelfé  la blonde kéavectoi, elapalair komode.

jeuvéragardécunfilmesurioutoube

Jeu vé prendrunbin

Tiens? Tutélle vé2boneur amatin

Je me souviens le soir de ma fête en 2016, j’étais seule avec mon ennui, il m’a envoyé un message d’anniversaire et nous avons commencé à établir un contact virtuel dans l’absurdité des mots fignolés de lettres comme de la dentelle fripée.

Mon esprit se torture à chaque fois pour trouver le son du langage en maltraitant le plus possible l’orthographe, c’est une vraie gymnastique de l’esprit et on s’amuse comme des malades.
On a chacun nos vies, mais les koukous aléatoires dérident mon quotidien même après quelques mois de silence,.
À notre manière, on se raconte et l'amitié qui nous unit pour moi est un cadeau.

Je suis chanceuse, depuis que je suis séparée j’ai réussi à me créer un bon réseau d’amis, surtout avec ma gang du billard.
Quelques fois, mon esprit vagabonde dans la nostalgie d’un amour perdu, mais ma mémoire fait son travail en remettant dans les bonnes cases tous ces souvenirs afin de retrouver la sérénité de mon cœur.

Aujourd’hui, c’est à Cybèle que je pense, je luis souhaite tellement le bonheur qu’elle mérite. Elle doit reprendre sa vie sans la présence de Stéphane et je lui ai suggéré de s’inscrire dans un groupe de billard pour son âge, je crois que l’animation d’un tel groupe pourra lui faire du bien.


Lolo la plus qu’imparfaite XXX
 

Victor Hugo « puisque l’intuition est surhumaine il faut la croire .
Poète, romancier et dramaturge, Victor Hugo est sans conteste l’un des génies de la littérature française. Les romans les plus connus de V Hugo sont « Notre-Dame de Paris » (1831) dans un Paris moyenâgeux, la belle Esmeralda fait battre le coeur de tous. Mais la jeune gitane est accusée de sorcellerie et doit être pendue, et »Les Miserables » (1862) un tel classique qu’on a toujours l’impression de l’avoir déjà lu au moins une fois… et de nombreux poèmes qui allie à la fois ambition, longévité, puissance de travail et génie, ce qui ne pouvait que concourir à ce mélange de fascination, d’envoûtement, et d’ exaspération qu’il suscite encore aujourd’hui. Il écrivait avec sobriété et puissance les bonheurs et malheurs de la vie . Victor Hugo était un travailleur obstiné.

A quatorze ans, V. Hugo écrit : » Je veux être Chateaubriand ou rien ! » Tout le monde a lu V. Hugo, mais lui, que sait-on vraiment de lui, à part qu’il a fait tourner les tables à Jersey ? Le portrait que nous en dresse aujourd’hui Max Gallo est fascinant. Car presque au jour le jour, nous suivons l’enfant (Victor Hugo commence à écrire des poèmes à douze ans !), puis l’adolescent et l’homme, à travers ses écrits, éclairant de l’intérieur ce siècle passionnant que fut le XIXe, naissant de la Révolution pour mettre au monde la République.

Victor Hugo est mort à Paris le 23 Mai 1885 à 83 ans, et plus de 3 millions de personnes ont assisté à ses funérailles..
Extrait des Proses Philosophiques : « C’est parce que l’intuition est surhumaine qu’il faut la croire ; c’est parce qu’elle est mystérieuse qu’il faut l’écouter ; c’est parce qu’elle semble obscure qu’elle est lumineuse. » Victor Hugo, Proses Philosophiques

« Vous êtes-vous parfois replié sur vous-même, plongeant vos yeux dans votre propre mystère, songeant et sondant ? Qu’avez-vous vu ? Une immensité. Une immensité, noire pour quelques-uns, sereine pour quelques autres, trouble pour la plupart.

Presque tous les penseurs qui se recueillent et méditent aperçoivent en eux-mêmes (c’est-à-dire dans l’univers, l’homme étant un microcosme) une sorte de vide d’abord terrible, toutes les hypothèses des philosophies et des religions superposées comme des voûtes d’ombre, la causalité, la substance, l’essence, le dôme informe de l’abstraction, des porches mystérieux ouverts sur l’infini, au fond, une lueur. Peu à peu des linéaments se dessinent dans cette brume, des promontoires apparaissent dans cet océan, des fixités se dressent dans ces profondeurs ; une sorte d’affirmation se dégage lentement de ce gouffre et de ce vertige.

vendredi 5 janvier 2018

Coincée dans un banc de neige


Un orignal coincé sous la neige (vidéo)Mercredi dernier, la seule journée où la température était convenable pour une marche à l’extérieur, je décide pour la première fois d’aller faire un tour au centre d’achats Rosemère à pied.

Habillez comme un ours, mitaines, salopette et foulard, j’emprunte le boulevard Curé Labelle qui n’a aucun trottoir déneigé. Je pose un pied devant l’autre sur le bord de la route avec la circulation qui m’effleure presque le capuchon. En retenant mon souffle, je traverse les intersections de la 640 comme un canard à qui l'on vient de couper le cou, la peur de perdre l’équilibre et de m’écraser dans le milieu de la rue était plus que présente.

Au carrefour du centre d’achats, je ne pouvais plus avancer, je décide d’emprunter un p’tit buisson enneigé… pauvre de moi, je m’enfonce dans la neige jusqu’à mi-cuisse, impuissante de bouger, le cœur qui bat à cent mille à l’heure n’ayant plus aucune force physique, je regarde le ciel et je me dis que seul un hélicoptère peut venir à ma rescousse.

La panique et le stress s’emparent de moi, je prie tous les Saints du ciel et je finis par me calmer en prenant de grandes respirations pendant plusieurs minutes en essayant de reprendre le contrôle de la situation. J’étais en sueur de la tête au pied, je me voyais mourir d’une crise cardiaque.

Après quelques minutes de ce régime, ma tension baisse et je ressens mes forces revenir afin de me dégager. J’ai finalement rampé jusqu’au bord de la route en conservant mes dernières forces vitales en appelant Cybèle pour qu’elle vienne me chercher. Je peux vous dire que le soir au billard, je pétais le feu, j’étais tellement contente d’être vivante et en bonne santé après toute cette aventure.

Ce n’est pas pour me vanter, mais pendant le temps de fêtes, j’ai eu la surprise de rencontrer un multi millionnaire qui m’a invité à souper chez Gibbys à St-Sauveur. Malgré tout l’argent du monde, je n’étais pas prête à faire des pirouettes pour mieux le connaitre. Une deuxième rencontre était suffisante pour me dire qu’il valait mieux rester seule au chaud dans mon appartement que d’aller faire un tour sur la Riviera Maya avec un homme qui ne me plait pas.

Lolo la plus que parfaite XXXX










Lorsque vous n’avez plus d’attentes, votre vie change



Je me suis rendu compte que j’employais une grande quantité de mon énergie à m’imaginer dans une situation future que je désirais. Que je me concentrais bien trop sur le lendemain.

J’ai donc pris la décision de cesser d’attendre, de ne plus rien attendre de moi. Et lorsque l’on fait ce choix, notre cœur pousse un soupir de soulagement et notre âme commence à vivre véritablement.

En règle générale, nous sommes focalisés sur la manière dont nous devons vivre, sans nous rendre compte que nous nous conditionnons et que nous ne vivons pas réellement.

Nous emprisonnons notre âme et nous la mécanisons.

J’ai donc décidé de retenir toutes les pensées qui tournaient autour de moi, autour de toutes les attentes que j’avais vis-à-vis de mon existence. En résumé, toutes mes illusions.

J’ai décidé d’arrêter de me créer des expectatives et de vivre uniquement à travers elles. Pour mieux me concentrer sur ce qui se passait dans ma vie au quotidien, pour profiter de tout ce que j’expérimente, au lieu de passer mon temps à attendre.

“Ce qui est passé n’est plus, ce que vous attendez est absent, mais le présent est vôtre.”
-Proverbe arabe-

Cessez d’attendre quelque chose des autres
J’ai également décidé de cesser d’attendre quelque chose des autres. Que les personnes qui nous entourent nous valorisent, que notre partenaire nous comprenne, que nous nous comprenions nous-mêmes et que les autres aient confiance en nous, en notre potentiel et en notre savoir-faire ne sont pas des choses faciles. J’ai appris que le plus important était de croire en moi.

Si je fais quelque chose, je dois le faire parce que j’en aie véritablement envie, pas parce que j’attends que cela produise un quelconque changement.