samedi 31 décembre 2016

Alors…je me lance avec mes ptites histoires.



Vendredi 30 décembre 2016
Alors…je me lance avec mes ptites histoires.

Je viens d’arriver, il est 23h.30
Je suis libre…alors, je suis allée faire un ptit tour chez Tilou.1, un bail que je ne l’avais pas vu.

Il va très bien, je trouve même qu’il a embelli malgré son amputation à la jambe, il est vraiment beau. En tout cas, il ne perd pas la forme, c’était vraiment une belle soirée et je ne pense pas que ce soit la dernière.
Je n’aurai certainement pas de fils d’araignée entre les deux jambes.

Il m’a dit qu’il ne voyait aucun problème pour lui de faire partie de mes 3 amants. BINGO!!!
Je m’aperçois que les hommes sont très ouverts d’esprit…beaucoup plus que certaines femmes en tout cas, surtout en matière de sexualité.

Étonnamment, je commence à comprendre le langage de Juliette.
Ce soir, j’écoute attentivement ses miaulements, tous très différents, elle veut seulement que je la flatte un ptit peu.

Bon…parlons de mon quotidien…pas facile de se confier en toute honnêteté surtout quand c’est moi qui me juge le plus.

En arrivant, j’ai pris de la vitamine C, mon nez coule comme une champlure et j’éternue à plusieurs reprises.
Je me roule un joint, regarde mes courriels, un ptit peu de Facebook, un ptit tour sur Réseau Contact. Je voulais jouer sur Slotbuster, mon jeu préféré, mais j’ai décidé d’écrire.

Je me sens juste bien relaxe, j’écoute André Rieu avec les écouteurs sur les oreilles.

Juliette décide de s’écraser sur mes genoux, elle adore s’installer près de moi quand je suis devant mon clavier. Le problème…. elle fuck tous les paramètres de mon ordi.

Tilou4, décide de me téléphoner à 24h.30 pour me raconter sa soirée avec une fille de Réseau Contact, il me demande si je pouvais le recevoir pour fumer un joint et faire l’amour…yé malade ou quoi!!!.
Je lui ai fait comprendre de ne jamais m’appeler aussi tard
J'ai menti en lui faisant croire que j’ai passé la soirée avec des amis et lui me radote toutes ses histoires de blondes,,,, blablablallalla.

 J’écoute présentement une musique <Les parapluies de Cherbourg> un film musical merveilleux que j’ai vu en 1963 avec Catherine Deneuve
Pour le meilleur ou pour le pire, je vis un énorme changement dans ma vie.
J’ai l’impression de faire un virage de 360 degré, je me sens plus libre, je n’ai de compte à rendre à personne…ni à mes enfants, ni à ma famille, ni à mes amis. Je suis le seul maitre de ma vie.

Vivre avec un Tilou0 pendant quarante ans m’apprend à gratifier mon récent célibat.
Je décide de m’occuper de moi, je me sens égoïste et j’aime ça.

À 62ans, tout un changement avec la femme si responsable et dévouée que j’étais. Je me sens comme une ado en pleine crise d’identité.

Je lis quelques mots de texte de mon dossier <Pensées> et je pense à Tilou2. si au moins je pouvais me l'enlever de la tête celui-là....mais, j'y travaille.
<Si on devient follement amoureux , ou même un tant soit peu , on risque à jamais de perdre son bonheur et la paix de l’esprit.>
<Quand l’amour se meurt il ne reste qu’une pointe de glace au cœur.> Saveur de Scandale (Stéphen Birmingham)
<Ne tirez pas et ne poussez pas sur ce que vous voulez. Si vous tirez ou poussez, ça signifie qu’il y a une peur quelque part que ça ne marche pas et cette peur va générer un stress qui va vous empêcher d’avoir ce que vous voulez.> (https://www.psycho-ressources.com/bibli/impermeable-amour.html)
Lolo la plus qu’imparfaite XXX

vendredi 30 décembre 2016

De quelle façon chaque signe astrologique exprime sa colère


de Sandra Véringa | 16 juillet 2016
Peu importe qui vous êtes. Il peut arriver à tout le monde de se mettre en colère de temps en temps. Et quand nous sommes en colère, nous avons tendance à mettre de côté la patience, l’humilité et le bon sens, même si ce n’est qu’un instant.

Peut-être qu’une fois que nous aurons conscience de la manière dont nous réagissons généralement aux choses qui nous mettent en colère, nous pourrons veiller à avoir une meilleur cohérence.

Alors, voici quelques-unes des choses typiques sur lesquelles chaque signe du zodiaque doit travailler quand il extériorise sa colère.

Les Béliers
Les Béliers sont certainement ceux qui se mettent le plus vite en colère. Après tout, ils sont l’un des signes de feu. Ils ont en eux un feu ardent, et parfois vous pouvez voir ce feu éclater dans leur colère. C’est leur côté sombre.

Généralement, ils n’aiment pas argumenter avec les gens, mais savent certainement comment y mettre fin. Parfois ils sont impatients et volatiles, surtout lorsqu’on pousse leurs limites ou quand ils sont obligés de faire face à quelque chose.

Mais bien qu’ils se mettent aussi vite en colère, ils se calment généralement tout aussi vite, et pardonnent même à ceux qui les ont heurtés. Le Bélier fait partie des signes les plus capables de « pardonner et oublier ».

Les Taureaux
Les Taureaux sont généralement de nature ‘tempérée’. Ils se mettent difficilement en colère. Mais lorsqu’ils sont en colère, gare à vous! Des choses telles que la déloyauté, l’inégalité, et la trahison, les mettent vraiment en colère. Pour le reste, la plupart des Taureaux n’aspirent pas à perdre leur temps et leur énergie dans la colère. Quand ils se mettent en colère, il leur faut un certain temps pour se calmer à nouveau. Il est préférable de leur donner l’espace dont ils ont besoin.

Les Taureaux aiment parler tranquillement des choses. S’ils sont calmes, donnez-leur une chance de parler de leurs sentiments, sinon vous risquez de les mettre en colère davantage pour avoir refusé d’écouter.

Après la fin d’une dispute, ils sont généralement prompts au pardon, à moins bien sûr que vous ayez fait quelque chose qu’ils jugent impardonnable.

Ils seront toujours courtois avec vous dans la plupart des cas, mais vous ne serez pas en mesure d’emmener la relation à ce qu’elle a été autrefois.

Le vieillissement ne serait-il qu’un état d’esprit ?

Le vieillissement ne serait-il qu’un état d’esprit ?

LE CERVEAU ET LE CORPS EN RELATION Recherches effectuées par Ellen Langer, professeure à Harvard

Traduit par Richard Parent

L’article cité en référence par Equilibrio, met en lumière les travaux d’Ellen Langer, maintenant âgée de 67 ans (automne 2014), et qui est « … la professeure de psychologie ayant enseigné le plus longtemps à Harvard.

Bob Bodenhamer ajoute: cet article relate plusieurs expérimentations cliniques qui démontrent à quel point notre cerveau et notre corps ne font qu’“un.” Il n’est pas question ici de « cerveau et corps ». Pas même d’« esprit-corps » ; en réalité, on devrait s’y référer comme «cerveau corporifié».1 L’article était précédé par : «Percée scientifique en biologie de la croyance. » « Cet article renforce ma solide croyance en la capacité de l’esprit à influencer la physiologie. » (Bob Bodenhamer)
(Ce qui suit est un résumé de l’article et non une traduction intégrale.)

À l’automne 1981, huit hommes septuagénaires se retrouvent dans un monastère reconverti du New Hampshire (on allait appeler cela « the counterclockwise study »). Certains d’entre eux ont de la difficulté à se déplacer. Tout à l’intérieur du monastère reproduit ou rappelle l’année 1959. Le monastère allait être leur résidence pendant 5 jours alors qu’ils participent à une expérience radicale conçue par une jeune psychologue du nom d’Ellen Langer.

Bien que les sujets soient en bonne santé, l’âge avait laissé sa marque. Avant leur arrivée, on leur a administré une batterie de tests afin de déterminer leur âge corporel et leur état de santé général. Langer prédit que les résultats allaient, après les cinq jours d’intense intervention psychologique, être bien différents.

Ellen n’en était pas à sa première expérimentation auprès de personnes âgées. Lors d’une précédente expérimentation, Langer avait pu constater que le modèle biomédical dominant – selon lequel le cerveau et le corps sont totalement séparés – faisait fausse route. Selon la croyance populaire, « la seule façon d’être malade est par l’introduction d’un pathogène ; et la seule manière de s’en remettre consiste à s’en débarrasser.» Langer pensait que ce dont nous avons besoin pour nous guérir nous-mêmes, c’est d’un « coup de main » psychologique – quelque chose qui motive le corps à prendre des mesures curatives par lui-même.

On demanda au groupe non seulement de retourner dans leur passé, mais de l’habiter, de le revivre, de se le réapproprier – de « faire un effort psychologique pour redevenir cette personne qu’ils étaient il y a 22 ans. » Langer dit à ces hommes : « Nous avons de bonnes raisons de croire que s’y vous y parvenez, vous vous sentirez à nouveau comme en 1959. » Dès qu’ils eussent franchi la porte, on les traita comme s’ils étaient des hommes plus jeunes.

Tout ce dont ils parlaient était en relation avec la fin des années 1950, une des principales stratégies de mises en situation de Langer. Rien ne devait leur rappeler qu’ils avaient vieilli de 22 ans.

À la fin de leur séjour, on les testa de nouveau. Ils étaient plus souples, démontraient une plus grande dextérité manuelle et s’assoyaient plus droit et plus haut – comme Langer l’avait prédit. Le plus surprenant fut l’amélioration de leur vision. Sans parler de ceux qui se mirent spontanément à jouer au football contact en attendant qu’arrive l’autobus qui les ramènerait à Cambridge ! Des témoins indépendants affirmèrent qu’ils avaient l’air plus jeunes. « Ces sujets expérimentaux, » ajouta Langer, « avaient transporté leur esprit à une époque plus jeune » et leurs corps les y avaient accompagnés.

Ces résultats étaient presque trop beaux. Ils défiaient les croyances coutumières. Méfiante envers de tels résultats, Langer se mit à songer à tout ce qui aurait pu biaiser ceux-ci. Elle hésita à publier son expérimentation. « C’était bien trop différent de l’école dominante, de tout ce qui se faisait dans ce domaine tel que je le comprenais » dit-elle. Vous devez comprendre que (à cette époque – les années 1980), on ne parlait pas encore de médecine esprit-corps.

Langer refusa de refaire une autre expérience semblable à cause des contraintes monétaires et matérielles. Mais en 2010, une autre expérience (The Young Ones), cette fois avec six anciennes célébrités, fut télédiffusée par la BBC avec des résultats similaires. Ce qui fit dire à Ellen : « On les a sortis de leur boule de naphtaline pour les faire se sentir à nouveau importants et peut-être, » médita-t-elle plus tard, « que cette renaissance de leur ego fut centrale à la renaissance de leurs corps. »

Ce reportage attira de nouveau l’attention sur les travaux de Langer. Un collègue, Jeffrey Rediger, ajouta, en parlant de Langer : « Elle est parmi les gens de Harvard qui savent voir la vérité. Le fait est que la santé et la maladie sont bien plus enracinées dans nos esprits et nos cœurs – ainsi que la façon dont nous nous percevons dans le monde – ce que nos modèles actuels ne font que commencer à comprendre. »

Dès les années 1970, Langer est non seulement convaincue que la plupart des individus sont induits en erreur par leurs attentes, mais qu’ils sont aussi spectaculairement inattentifs à ce qui se passe autour d’eux. « Ils ne se connectent simplement pas au moment présent (à l’ici et au maintenant). » Et lorsque vous n’y êtes pas, raisonne Langer, vous êtes susceptible d’aboutir là où vous vous êtes dirigé. Elle élabora un certain nombre d’études pour démontrer comment la pensée et le comportement humains peuvent être facilement manipulés par de subtiles motivations.

Pardonner, la clé pour être heureux

Article publié dans Développement personnel le 27 août 2016 par Lyne Roy

On dit que « dès le moment où l’on s’engage pleinement dans une démarche visant notre bien-être, l’univers conspire à notre avantage. Toutes sortes de choses arrivent pour nous aider à mettre en œuvre notre décision et il crée, en notre faveur, toutes sortes de rencontres et d’aides matérielles que nous n’aurions jamais croisées autrement.» Du moment que nous sommes vraiment sincères, intègres et décidés à y mettre du nôtre, tout peut arriver.

DÉCIDER DE PARDONNER
Décider de pardonner est un acte courageux et volontaire d’engagement envers nous-mêmes. En prenant cette décision de pardonner, nous reprenons le pouvoir sur nos vies. À l’intérieur de nous, se retrouvent toutes les ressources nécessaires qui nous mèneront vers notre guérison. Si nous persistons à retenir ces sentiments de colère et de haine, il nous est alors impossible d’obtenir une paix intérieure. Soulagés de nos pensées de victimes (pardonner aux autres) ou de culpabilité (se pardonner à soi-même), nous serons en meilleure position pour éprouver la joie, la paix et l’amour.
PARDONNER ?

Pardonner ne signifie pas que l’on est en accord avec le geste posé ou qu’on approuve un acte blessant, irresponsable, il ne demande pas non plus de tendre l’autre joue ni de renouer avec la personne concernée. Ça ne veut pas dire non plus fermer les yeux sur ce qui a été commis. Ça implique plutôt de considérer consciemment la situation et en éliminer la douleur dans notre mémoire. Cela permet de mettre un point final à des affaires anciennes nous permettant de vivre dans le présent, libéré de la contamination du passé. Ça nous permet de dissoudre ce lien de négativité qui nous relie encore à notre agresseur. C’est lâcher prise sur le ressentiment, la rancune, les attitudes négatives et le chao que s’approprie notre esprit et qui sabote notre paix intérieure. Pour trouver le bonheur nous devons faire face à nos démons et le pardon est l’action la plus puissante à notre disposition pour modifier nos vies et nos relations. L’état d’esprit dans lequel il nous emmène porte les tragédies à un niveau plus élevé et c’est là qu’il est possible de les guérir. Le simple fait de «dire» que nous sommes prêts à pardonner, amorce déjà le processus de guérison.

SE PARDONNER À SOI-MÊME
L’essence du pardon est de laisser aller nos regrets, notre culpabilité et notre propension à nous blâmer. C’est essentiel de pardonner et de SE pardonner et d’avoir de la compassion pour nous sinon ce sont la culpabilité et la honte qui nous guettent. Nous serons alors piégés dans des pensées et sentiments négatifs et nous serons persuadés que nous méritons peu dans la vie ou que la vie ne vaut pas la peine d’être vécue.

Le pardon est nécessaire, il augmente notre capacité à contrôler nos pensées et nous permet de continuer vers une vie plus heureuse. Il aide à apaiser notre esprit angoissé. Certains vont jusqu’à utiliser des moyens anesthésiants (alcool, drogue, médicaments…) pour calmer ces réactions de peur mais du même fait, ils vont s’occasionner d’autres problèmes (dépendances) qui peuvent aller jusqu’à nuire aux personnes qui nous entourent.

Penser d’envisager nos situations douloureuses donne souvent l’impression que ça va nous anéantir. Cependant, fuir nos démons c’est plutôt leur accorder tout le pouvoir sur nous. Si on désire une vie meilleure, il est primordial de s’affranchir de ces peurs. Apprendre à pardonner exige de nous que nous nous aimions assez pour refuser de rester dans une douleur qui nous empêche de vivre. Si nous ne pardonnons pas, la douleur persistera. Le pardon efface les dégâts du passé, que la blessure soit ancienne ou récente. Il clarifie la pensée parce qu’il supprime les bouleversements qui ennuagent l’esprit et le cœur. « Une fois convaincu du pouvoir que nous avons sur les pensées que nous entretenons, la ligne est mince pour devenir une personne sur qui les blessures auront de moins en moins de prise.» (*Louise DesChâtelets Préface de Pardonner pour de bon). Si on ne peut pas toujours contrôler ce qui nous arrive, on peut décider comment y réagir.

jeudi 29 décembre 2016

3 amants au printemps.

Juste pour vous faire rire un peu....cela va peut-être me servir de texte pour mon prochain roman qui va sortir certainement d’ici 2ans. 
Je plaisante naturellement.

Je me demande bien si je vais me retrouver avec 3 amants au printemps.

Tilou.1(premier amant après ma séparation de mes 40ans de mariage)
Complètement fauché, malade cardiaque, amputation du pied, diabétique un paquet de problèmes ambulants... très bon amant et très drôle à chatter.

J’ai ouvert la porte pour lui, depuis des mois, il essayait de communiquer avec moi.
Finalement le téléphone nous a rapprochés, avec ma fonction mains libres je lui ai parlé une grande partie de la soirée comme s’il était devant moi.
On a parlé de toutes ses blessures et des miennes, on a raconté nos histoires sans aucune gène.

Il ne peut vraiment pas se déplacer et moi en bonne samaritaine, je lui ai promis d’aller le visiter la semaine prochaine.
Il était tellement content, il était fou comme un balai.

Un peu plus tard...ma Juliette toujours couchée sur mon ordi en cherchant la chaleur a complètement déprogrammé mes paramètres.
Sans farce, j’ai tout fait pour essayer de reprogrammer, j’ai demandé de l’aide à 3 personnes pour finalement téléphoner à Ptit Loup no:2 en catastrophe.

Tilou.2 (gros..gros...coup de coeur de cet été, pour le moment je pense d’être libérée)
Perfectionniste à l’extrême, boudeur, radin, cerveau musclé, grand et solide, amant parfait, veut toujours avoir raison : celui que j’ai le plus aimé.
À 10h du soir il était prêt à venir à la maison me montrer personnellement comment touché les bonnes touches.
Heureusement que j’ai repris mes esprits à temps, je lui ai dit que je n’étais pas masochiste et qu’au téléphone je pourrais très bien m’en sortir.

Il m’a parlé d’une très belle patinoire à St-Thérèse et que je devrais m’équiper de patins.
Alors, je lui air raconté, la dernière fois que j’ai fait du patin, c’était avec mon père qui est mort depuis belles lurettes et si toutefois je remettais des patins, je devrais m’équiper aussi d’une marchette.
On a ri comme des fous.

Il y a aussi Tilou.4.....mon meilleur ami du moment,
Un entraineur sportif hors pair. Avec lui, tout ce dit, un expert en la matière sexuelle, très très bon cuisinier, j’aime bien fumé un joint avec lui.
Une drôle de relation, une relation libre de toute attache, il n’est pas mon amoureux et je ne suis pas son amoureuse.
Je le laisse se chercher une belle relation comme il l’entend.

Finalement, si je prends seulement les bons moments auprès de ses trois hommes, je serai la femme la plus comblée, mais je devrai prendre beaucoup de vitamines et avoir un maudit bon agenda pour ne pas me tromper de journée et les inviter à souper tous en même temps.

Il ne manque queTilou.0 (mon ex-mari) dans le portrait...

HA!!!! j’oubliais le beau Tilou.3 qui n’hésiterait pas je suis certaine à me recevoir une journée ou deux par mois dans sa maison ancestrale près du lac avec un délicieux souper de chef.

Histoire à suivre...Bienvenue le célibat et la pizza

Lolo la plus qu’imparfaite XXX

vendredi 23 décembre 2016

Le mouton gris (conte de Noel)

Santa Simon
Un ptit cadeau de Noel de la part d'un bon ami à moi.

par Simon Blouin
Il espérait que cette veille de Noël fut le dernier jour de sa vie, tellement la perspective de passer seul cette soirée l’angoissait. Malgré une assez bonne forme physique pour ses 81 ans, Napoléon Novak souffrait d’un ennui profond. À tous les jours, il devait prendre une panoplie de pilules et s'imagina même les avaler toutes d’un coup pour en finir avec cette existence dépourvue de plaisirs.

Toutes les douceurs que pouvait lui fournir la résidence haut-de-gamme pour retraités qui l’abritait ne suffisaient pas à lui arracher son appréhension de vivre ce 24 décembre en solitaire.

Selon une habitude de plus de 50 ans, il avait installé, quelques jours auparavant, une très ancienne crèche de Noël sous un magnifique sapin. Cette crèche, fabriquée de plomb, lui avait été donnée par un collègue colonel du régiment dont il faisait partie durant la dernière guerre mondiale. Un ensemble un peu usé, avec le St-Joseph qui a perdu sa canne et le bœuf à une seule corne.

Penché sur son vieux souvenir, il se sentit interpellé par un mouton gris qui lui faisait signe avec sa tête, comme s’il voulait qu’il se rapproche. Le vieil homme pensa pour un instant qu’il hallucinait à cause d'un deuxième verre de sherry, ce qu’il ne faisait pas habituellement, ou peut-être s’était-il penché trop longtemps et que le sang lui avait monté à la tête? Rien de tout cela. Le mouton gris l’appela par son prénom : «Napoléon, tu es seul parce que tu n’as pas d’amis et tu n’as pas d’amis parce que tu n’as jamais rien donné! Tu as passé ta vie à prendre et à profiter de ton entourage et maintenant tu cherches à éviter de passer seul la fête du partage et de la fraternité. Cette soirée magique est devenue pour toi la prison de ta nostalgie.»

Lui qui jadis était un riche importateur d’œuvres d’art avait été marié à une belle rousse avec laquelle il vécut heureux pendant 39 ans. Celle-ci était décédée subitement alors qu’ils étaient en voyage d’affaires à l’étranger. C’est avec cette femme qu’il passa les réveillons de Noël les plus chaleureux de sa vie.

Surpris par cette déclaration pleine de vérité, le vieillard de nature combative répliqua en énumérant ses nombreuses participations à des causes humanitaires alors qu’il était encore actif en affaires. Il rappela au mouton gris qu’il avait même été président d’honneur d’une importante campagne de financement de la Croix-Rouge. La bête de plomb répliqua aussitôt qu’il avait fait cela pour un bien-paraître corporatif et que ses gestes philanthropiques avaient toujours été dépourvus de charité réelle. Cette dernière accusation lui rappela un énoncé de Mère Theresa qui l’avait un peu touché : «Ce n’est pas le montant d’argent que l’on donne qui importe, mais l’intensité d’amour qui nous anime quand on donne.»

Toujours penché sur sa vieille crèche, il ne pouvait pas quitter des yeux cette figurine de plomb qui représentait une sorte de conscience accusatrice. Le mouton gris continua : «Tu cherches un bonheur dans une fête religieuse qui est une occasion de se rassembler et de partager. Tu as tout pour partager, mais personne avec qui le faire.» Une fois de plus, cette deuxième accusation lui rappela une maxime inscrite sur une plaque de reconnaissance qui lui avait été offerte il y a belle lurette. «Si tu veux comprendre le mot bonheur, il faut l’entendre comme une récompense et non pas comme un objectif.» Celle-ci était signée de St-Exupéry.

Accroupi, immobile devant la scène, fixant toujours ce satané mouton au regard belliqueux, le vieil homme attendait une autre accusation qui ne tarda pas à venir : «Vous êtes un raté parce que, même avec tout votre argent, vous êtes incapable de vous payer le sentiment qui vous manque.» Outré par cette dernière vérité, il lui revint à l’esprit une phrase célèbre de son mentor, le général Patton : «La réussite n’est pas quand tu es au sommet, mais quand tu touches le fond et que tu es capable de rebondir.»

En se redressant, le vieil homme se demanda à quoi peut bien servir une épreuve si on n’y trouve pas une leçon? Il prit son manteau, s’en alla rejoindre quelques voisins qui s’étaient portés volontaires dans un réveillon de charité. Pour une rare occasion dans sa vie, il donna sans attente et revint chez lui avec un fort sentiment d’accomplissement.

Il avait trouvé son propre bonheur dans celui des autres.


vendredi 16 décembre 2016

Le véritable amour est un choix



Ma femme et moi nous connaissons depuis le lycée, mais on a commencé à sortir ensemble beaucoup plus tard. Nous sommes sortis ensemble seulement 2 ou 3 semaines avant de réaliser que nous étions follement amoureux et que nous voulions nous marier.
J’étais tout pour elle ! Je lui ai même proposé qu’on se marie immédiatement à Las Vegas. (Sérieusement). Kim, cependant, était un peu réaliste à propos de tout ça. Elle voulait prendre le temps de tout planifier.
Je me sentais dégonflé. « Nous sommes tellement différents », ai-je dit. « Tu aimes tout planifier, alors que j’aime être spontané. »
Les yeux de Kim se sont écarquillés. « Je peux être spontanée ! » dit-elle précipitamment. « Je peux tout à fait être spontanée, il faut juste que tu me dises à l’avance quand tu veux être spontané, pour que je l’écrive dans mon agenda… »
Je l’ai regardée d’un air étrange. Elle était vraiment sérieuse ! De toute évidence, Kim n’a pas compris la signification de la spontanéité.
Aussi drôle que cela puisse paraître, plus je pense à cette conversation plus je me rends compte que planifier d’aimer quelqu’un, ou choisir d’aimer quelqu’un, est en réalité l’une des plus belles choses dans l’amour.
J’ai entendu dire que le véritable amour est un engagement inconditionnel envers une personne imparfaite.

C’est vrai.
Lorsque les saisons passeront et que le jour de votre mariage deviendra un lointain souvenir, vous vous rendrez compte que vous avez épousé quelqu’un qui est tout aussi imparfait que vous. Et à leur tour ils apprendront que vous avez des problèmes, des bizarreries, et une odeur corporelle, aussi réelle que la leur !

Ensuite, vous vous rendrez compte que le véritable amour n’est pas seulement un sentiment euphorique, spontané, c’est un choix délibéré, un plan d’aimer l’autre pour le meilleur et pour le pire, dans la maladie et dans la santé. Bien sûr, vous ne choisissez pas par qui vous êtes attiré, mais vous choisissez de qui vous tombez amoureux (plus important) et de qui vous resterez amoureux.

Notre société accorde beaucoup d’importance aux sentiments. On nous apprend qu’on doit toujours suivre nos sentiments et faire tout ce qui nous rend heureux. Mais les sentiments sont très versatiles et éphémères. Le véritable amour, d’autre part, est comme l’étoile du nord dans les tourmentes de la vie : elle est constante, sûre et réelle. Chaque fois qu’on est perdu ou confus, on peut trouver la force dans l’amour qu’on a choisi.

En outre, la vie nous offre déjà beaucoup de spontanéité : le rejet, la perte d’emploi, le chagrin, la déception, les maladies, et une foule d’autres problèmes. Nous ne pouvons pas abandonner le navire chaque fois qu’il y a de l’orage dans notre mariage.

Quand ma grand-mère avait la cinquantaine, on lui a diagnostiqué une sclérose en plaques, une maladie dégénérative qui perturbe la capacité du corps à communiquer avec son système nerveux. En quelques années à peine, ma grand-mère ne pouvait plus marcher et était confinée dans un fauteuil roulant. Mon grand-père, qui était commissaire de police, a pris sa retraite deux ans plus tôt que prévu pour prendre soin de ma grand-mère. Il l’aidait pour tout ; à se déplacer dans la maison, pour les visites chez le médecin, à prendre ses médicaments et il l’aidait à se laver.

En parlant de ma grand-mère, une fois mon grand-père a dit à ma mère : « ça me fait mal de la voir comme ça. Tu sais, quand je me suis marié je pensais que la vie serait un long fleuve tranquille. Je n’aurais jamais pensé devoir l’aider à changer son cathéter tous les jours. Mais je le fais et ça ne me dérange pas, parce que je l’aime. »

L’amour est tellement plus qu’un sentiment euphorique. Et le véritable amour n’est pas toujours tout rose, mignon et câlin. La plupart du temps, dans le parfait amour il faut retrousser ses manches, mouiller sa chemise, et transpirer. Le vrai amour nous demande de faire des choses difficiles, de se pardonner, d’encourager l’autre à réaliser ses rêves, de le réconforter dans les moments difficiles, ou de prendre soin de sa famille. Le véritable amour n’est pas facile, et rien ne ressemble au jour du mariage, mais c’est beaucoup plus significatif et merveilleux.

Je suis récemment tombé sur cette merveilleuse citation : « Nul ne tombe amoureux par choix, c’est un hasard. Nul ne reste amoureux par hasard, c’est en faisant des efforts. Et nul n’aime plus par hasard, c’est un choix. » Chaque fois que ma femme et moi rencontrons un problème dans notre mariage, nous faisons de notre mieux pour choisir l’amour. Bien que nous ne soyons certainement pas parfaits, l’amour que nous partageons aujourd’hui est plus réel et plus merveilleux que tout ce que nous avions prévu.

Donc peu importe l’orage qu’il y aura sur mon chemin, j’ai l’intention d’aimer ma femme. Et si vous aimez vraiment quelqu’un (et s’il vous aime vraiment) engagez-vous dans cet amour et prévoyez de travailler dur pour lui.  Mais prévoyez également qu’il soit le travail le plus gratifiant de votre vie.

jeudi 15 décembre 2016

Les personnes qui entrent dans votre vie sont votre miroir!

N’est-ce pas fascinant de savoir que vous pouvez apprendre à vous connaître grâce au reflet que les autres vous renvoient ?

La théorie du miroir est un outil très puissant qui nous permet d’évoluer grâce à nos relations. Selon moi c’est l’outil le plus efficace pour devenir conscients de qui nous sommes réellement. Encore faut-il savoir et avoir envie de l’utiliser a bon escient.

Il nous est souvent difficile d’admettre et reconnaître que l’autre puisse être notre miroir surtout lorsqu’il se comporte d’une manière qui nous offusque. Comment l’autre peut-il l’être alors que nous trouvons justement son comportement désobligeant ou déplacé ? Nous n’oserions certainement pas nous comporter de la sorte, nous ! Et pourtant l’autre nous renvoie véritablement notre reflet. Il s’avère simplement que nous n’en sommes pas conscients et que la plupart d’entre nous ne savons pas interpréter cette approche. Généralement, nous avons plutôt tendance à accuser l’autre et à vouloir le changer lorsqu’il nous dérange, plutôt que d’utiliser cette occasion pour apprendre à nous connaître à travers le reflet qu’il nous renvoie.

Lorsque vous vous regardez dans un miroir et que vous y voyez un aspect de vous qui vous dérange – comme par exemple, le fait de trouver votre corps disgracieux, ou des boutons sur votre visage, ou une peau ridée – cela ne vous viendrait certainement pas à l’esprit de jeter votre miroir ou de le briser car vous savez que cela ne changerait rien aux aspects que vous venez de constater en vous. C’est pourtant ce que nous faisons la plupart du temps lorsqu’une personne nous dérange. Elle est notre miroir mais nous rejetons ce que nous voyons en elle et qui est pourtant notre reflet. En faisant cela nous ne réglons rien et l’aspect qu’elle nous renvoie et que nous possédons ne s’effacera pas pour autant. Au contraire, il continuera de persister à travers le reflet que nous renvoie cette personne ou à travers d’autres personnes qui nous dérangeront de la même manière.

Pour comprendre cette théorie il est nécessaire d’intégrer que ce n’est pas le comportement de l’autre qui est notre miroir mais l’aspect en lui qui nous dérange. C’est ce que nous lui reprochons au niveau du ÊTRE et non au niveau du FAIRE qui est notre reflet.

Nous possédons naturellement ce même aspect et très souvent nous nous contrôlons pour ne pas le montrer parce que selon notre système de valeur ce n’est pas correct d’Être ainsi, c’est ce que nous avons appris et que nous avons reçu comme enseignement.

En fait, il n’y a rien que nous ne puissions voir chez l’autre qui n’existe pas en nous et ce que nous voyons chez l’autre est encore plus accentué chez nous. Tout ce que nous voyons à l’extérieur de nous est un reflet de ce qui se passe à l’intérieur de nous.

mercredi 14 décembre 2016

Voici 7 erreurs éducatives qui empêchent les enfants de réussir



Tout au long de ses recherches, l’expert en leadership et auteur de livres et de best-sellers en psychologie, Tim Elmore, a repéré les erreurs typiques que les parents commettent en programmant depuis le début leurs enfants pour être vulnérables, et en limitant leurs opportunités pour avoir du succès dans leur vie personnelle et professionnelle.

Cet article de Forbes synthétise les erreurs d’éducation qui compromettent le plus les chances de réussite des enfants. Ce texte a été adapté (il ne soulignait que les erreurs), j’ai ajouté les solutions possibles et je les partage avec vous.

Nous recommandons à tous les parents et à ceux qui comptent le devenir, de s’arrêter un instant sur ces erreurs typiques pour ne pas les commettre avec leurs propres enfants.

PS : Nous n’allons pas rentrer dans un débat sur la définition du succès mais je considère qu’il ne peut de toute façon pas y avoir de succès sans le bonheur. On doit être heureux pour réussir.

Allons-y pour ces 7 « erreurs éducative » qui empêchent les enfants de réussir et leurs solutions qui contribuent au bonheur et au succès. :

1. Ne pas laisser ou permettre à vos enfants de prendre des risques.

Les enfants ont besoin de tester, d’explorer, de faire seul, de tomber, de se relever, de jouer à l’extérieur…bref, d’apprendre par l’expérience.

Le monde est plein de dangers, c’est une réalité. La devise «la sécurité avant tout» renforce notre peur de perdre nos enfants, raison pour laquelle nous les protégeons de tout.

Des psychologues européens ont découvert que si les enfants ne jouent pas dans la rue, s’ils ne tombent pas, s’ils ne se font pas mal aux genoux, il est fort possible qu’ils développent des phobies à l’âge adulte.

Ils doivent tomber plusieurs fois pour comprendre qu’il est normal que cela arrive. Les adolescents doivent avoir des conflits avec leurs camarades et vivre leur premier amour pour acquérir une stabilité émotionnelle, faute de quoi il leur sera impossible d’établir des relations interpersonnelles de qualité et de longue durée dans l’avenir.

Le fait d’éliminer les risques dans la vie des enfants peut être à l’origine de l’arrogance, de l’insolence et d’une pauvre estime de soi dans leur vie d’adulte.
Solution possible:
  • Lâcher-prise plus souvent (même si c’est parfois difficile) et faire confiance

mardi 13 décembre 2016

Lorsque quelqu’un vous quitte, ce n’est pas obligatoirement une perte

Quand quelque chose est brisé, il faut le réparer ou tout du moins essayer. C’est ce qu’on nous a toujours appris, pendant notre scolarité mais aussi nos parents. Et si ce n’était pas la vraie solution ? Et si au lieu de réparer, on allait chercher mieux ? Dans les relations humaines, il est parfois préférable d’oublier ce qui a été, pour aller vers plus gratifiant.

S’il est si difficile de laisser quelqu’un partir, c’est parce que nous vivons dans une société qui voit la solitude et le célibat comme quelque chose de mauvais. Parfois, nous essayons désespérément de retenir les gens, même lorsqu’ils ont largement dépassé les bornes, on reste accroché aux raisons pour lesquelles ils ont fait irruption dans notre vie…

On nous conditionne et on nous fait croire que rien de positif ne peut nous arriver quand quelqu’un nous quitte, qu’il était tout pour nous. On nous dit souvent qu’une personne qui sort de notre vie est une perte, or chaque amitié et chaque relation d’amour est une leçon, donc au lieu d’être tristes à cause des gens qui nous délaissent, nous devrions plutôt célébrer celles qui restent.

Lorsque quelqu’un nous quitte, nous nous sentons mal. C’est peut-être même un des sentiments les plus douloureux à supporter. Ce n’est qu’au fil du temps que la douleur s’estompe et que l’on ouvre les yeux. On s’aperçoit alors que nous n’avons plus besoin de cette personne.

Toutes les bonnes choses ont une fin et cela pour laisser la place à d’autres encore bien meilleures ! Il suffit de s’en convaincre pour pouvoir appréhender la vie sereinement et vivre une séparation de façon moins cruelle. Nos croyances sont importantes car si l’on considère le départ d’une personne comme négatif, on finit par le vivre comme une perte. Et l’inverse est aussi vrai.

Il faut être convaincu que tout arrive pour une raison, peu importe les circonstances. On peut croire que cela est difficile lorsque l’on se sépare, mais même les choses qui semblent en apparence épouvantables, ont une explication. Et presque à chaque fois, cette explication génère du positif. Alors armez vous de patience!

Lorsque quelqu’un vous quitte, ce n’est pas obligatoirement une perte
Les séparations sont souvent douloureuses. On ressent de la tristesse, du chagrin et des regrets, mais chaque perte nous emmène sur un chemin qui nous rend plus forts. La première chose à faire pour se sentir mieux est de se convaincre que le meilleur est toujours à venir et de positiver. La vie est comme un boomerang : elle nous renvoie toujours ce qu’on lui donne.

Il est totalement inutile de perdre son temps et son énergie dans la tristesse, le regret, et de ce fait de ne plus avancer. La vie est un perpétuel recommencement. Des personnes entrent dans notre vie et aussi en sortent. Ils viennent pour une raison et en sortent certainement pour une autre meilleure. Ce n’est pas la fin du monde si quelqu’un nous quitte. Cette personne va découvrir de nouveaux horizons et nous laisser la possibilité d’en découvrir aussi .

Souvent, au final certaines relations qui se terminent sont bénéfiques voire salutaires. Il est préférable de vivre une séparation lorsque l‘autre ne nous respecte plus, nous blesse ou nous fait du tort. Il vaut mieux laisser partir l’autre lorsqu’on vit dans une angoisse permanente et une inquiétude de tous les instants. Dans ce moment là, il faut écouter son instinct et lui faire confiance. Il a le pouvoir de discerner le bon du mauvais et de décider qui peut rester et qui doit partir.

Nous sommes faits pour rencontrer de nouvelles personnes. Nous sommes conçus pour explorer, découvrir et grandir, et ne pas être freinés par des gens qui nous briment.

Si quelqu’un vient de vous quitter, au lieu de vous sentir brisés en mille morceaux, pensez plutôt au sentiment de tristesse et à la douleur qu’elle vous a fait. La vie est trop courte pour ne pas être heureux. Vous devez apprendre à vous entourer de personnes qui comptent. Vous devez aussi accepter que d’autres sortent de votre vie. Ils deviendront des étrangers et feront partie de vos souvenirs, mais vous ne devez jamais vous sentir coupables d’éliminer les personnes toxiques de nos vies. Personne n’a le droit de vous empoisonner avec sa négativité et ses doutes. Laissez partir ce genre de personnes est sûrement la meilleure chose à faire. Il est important de penser d’abord à soi et à son bien-être, et le plus tôt sera le mieux. La séparation ne doit pas être vécue comme un échec car, après tout, vos moments douloureux ne vous définissent pas. Votre manière de les appréhender et de les vivre s’en charge.
http://sain-et-naturel.com/lorsque-quelquun-vous-quitte.html

dimanche 11 décembre 2016

Les 30 leçons de vie d’Albert Einstein



Albert Einstein était plus qu’un simple scientifique. Voici 30 leçons de vie incroyables qui viennent de l’homme lui-même !

  • 1. L’étudiant n’est pas un conteneur que vous devez remplir, mais une torche que vous devez allumer.
  • 2. La croissance intellectuelle devrait commencer à la naissance et ne cesser qu’à la mort.
  • 3. Chacun doit être respecté dans sa personne et nul ne doit être idolâtré.
  • 4. Ne jamais faire quelque chose contre sa conscience même si c’est l’État qui l’ordonne.
  • 5. Si les gens ne sont bons que parce qu’ils craignent un châtiment, et en espèrent une récompense, alors l’ensemble de l’humanité est vraiment une bande lamentable.
  • 6. La perfection des moyens et la confusion des buts semblent caractériser notre époque.
  • 7. L’amour est meilleur professeur que l’obligation.
  • 8. Si vous ne pouvez pas l’expliquer simplement, c’est que vous ne l’avez pas suffisamment bien compris.
  • 9. Aucun problème ne peut être résolu sans changer le niveau de conscience qui l’a engendré.
  • 10. Il est plus facile de désintégrer un atome qu’un préjugé.
  • 11. La valeur d’un homme tient dans sa capacité à donner et non dans sa capacité à recevoir.
  • 12. La distinction entre le passé, le présent, le futur n’est qu’une illusion, aussi tenace soit-elle.
  • 13. Je ne crois point, au sens philosophique du terme, à la liberté de l’homme. Chacun agit non seulement sous une contrainte extérieure, mais aussi d’après une nécessité intérieure.
  • 14. La logique te mènera de A à Z; L’imagination te mènera partout.
  • 15. La chose la plus incompréhensible sur le monde est qu’il est compréhensible.
  • 16. L’imagination est plus importante que le savoir. Le savoir est limité. L’imagination encercle le monde.
  • 17. Si vous voulez que vos enfants soient intelligents, lisez-leur des contes de fée. Si vous voulez qu’ils soient plus intelligents, lisez-leur plus de contes de fée.
  • 18. L’éducation est ce qui reste après qu’on ait oublié ce qu’on a appris à l’école.
  • 19. N’importe quel imbécile peut savoir. Mais comprendre est ce qui importe.
  • 20. Je suis reconnaissant envers ceux qui m’ont dit NON, car c’est grâce à eux que je l’ai fait par moi-même.
  • 21. L’imagination représente tout. C’est un aperçu du futur de votre vie. L’imagination est bien plus importante que la connaissance.
  • 22. Une personne qui n’a jamais fait d’erreurs n’a jamais pris de risques.
  • 23. L’information n’est pas une connaissance. La seule source de connaissance est l’expérience.
  • 24. Apprendre d’hier, vivre pour aujourd’hui et espérer pour demain.
  • 25. Apprenez les règles du jeu pour vous en servir pour aller plus vite et plus loin.
  • 26. N’essayez pas d’avoir du succès, apportez de la valeur ajoutée via les connaissances et le talent que vous avez naturellement.
  • 27. La créativité est contagieuse, transmettez-la.
  • 28. Je n’ai pas fait une seule de mes découvertes par un processus de pensée rationnelle.
  • 29. Nous savons de la vie quotidienne que nous existons d’abord pour d’autres personnes, car de leur sourire et de leur bien-être dépend notre propre bonheur.
  • 30. Faites toujours ce qui est droit, cela va satisfaire les uns et étonner les autres-
http://www.espritsciencemetaphysiques.com/lecons-de-vie-dalbert-einstein.html