vendredi 31 mars 2017

Les biais cognitifs

Je suis étonnée que presque tous mes ptits Loups suivent mon blogue.
Ça me fait un ptit velours...mais quand même, il faut que je fasse attention à ce que j’écris pour ne pas les discréditer un par un ou les surévaluer dans certains moments intimes.
S’ils veulent me suivre, je leur dis de lire aussi les articles de temps en temps qui précèdent mes mots.

Hier soir
Le coeur à la joie, j'ai profité de mon amitié avec mon entraineur sportif, je ne l'avais pas revu depuis des lustres et j'avais le goût de fêter ma <fayite> en prenant le rôle de la call-girl pour un soir.

Il est toujours à la recherche de la perle rare qui remplira sa vie et moi remplir la vie de quelqu'un ne fait pas partie de mes désirs immédiats mais on s'entend bien, notre relation est honnête et on a du fun ensemble pour les rares fois que l'on se voit.
Je pense sincèrement qu'après 40 ans de mariage je mérite la liberté et l'indépendance, j'en ai besoin comme l'air qui m'entoure.
Finalement, c'était une maudite belle soirée comme je les aime
Vive le célibat et la vodka!!!

Je vous laisse à cet article que je veux relire
Lolo la plus qu’imparfaite XX

Les biais cognitifs
Les biais cognitifs (aussi appelés biais psychologiques) sont des formes de pensée qui dévient de la pensée logique ou rationnelle et qui ont tendance à être systématiquement utilisées dans diverses situations.

Ils constituent des façons rapides et intuitives de porter des jugements ou de prendre des décisions qui sont moins laborieuses qu’un raisonnement analytique qui tiendrait compte de toutes les informations pertinentes.

Ces jugements rapides sont souvent utiles mais sont aussi à la base de jugements erronés typiques.

Le concept a été introduit au début des années 1970 par les psychologues Daniel Kahneman (prix Nobel en économie en 2002) et Amos Tversky pour expliquer certaines tendances vers des décisions irrationnelles dans le domaine économique. Depuis, une multitude de biais intervenant dans plusieurs domaines ont été identifiés par la recherche en psychologie cognitive et sociale.

Certains biais s’expliquent par les ressources cognitives limitées. Lorsque ces dernières (temps, informations, intérêt, capacités cognitives) sont insuffisantes pour réaliser l’analyse nécessaire à un jugement rationnel, des raccourcis cognitifs (appelés heuristiques) permettent de porter un jugement rapide. Ces jugements rapides sont souvent utiles mais sont aussi à la base de jugements erronés typiques.

D’autres biais reflètent l’intervention de facteurs motivationnels, émotionnels ou moraux ; par exemple, le désir de maintenir une image de soi positive ou d’éviter une dissonance cognitive (avoir deux croyances incompatibles) déplaisante.

Voici une liste de 25 biais cognitifs fréquents :

Le biais de confirmation.
Le biais de confirmation est la tendance, très commune, à ne rechercher et ne prendre en considération que les informations qui confirment les croyances et à ignorer ou discréditer celles qui les contredisent.
Commentaire : Biais largement utilisé en sciences où il est préférable de trouver des données qui confirme l’hypothèse que celles qui l’infirme.
Le biais de croyance
Le biais de croyance se produit quand le jugement sur la logique d’un argument est biaisé par la croyance en la vérité ou la fausseté de la conclusion. Ainsi, des erreurs de logique seront ignorées si la conclusion correspond aux croyances.
Commentaire : La désinformation s’appuie sur la force des croyances. Voir La désinformation: pourquoi elle fonctionne et comment la contrer.
Le biais d’autocomplaisance
Le biais d’autocomplaisance est la tendance à s’attribuer le mérite de ses réussites et à attribuer ses échecs à des facteurs extérieurs défavorables..L’erreur fondamentale d’attribution est la tendance à surestimer les facteurs personnels (tels que la personnalité) pour expliquer le comportement d’autres personnes et à sous-estimer les facteurs conjoncturels.