lundi 23 octobre 2017

Une nouvelle recherche révèle que se plaindre vous rend littéralement malade et vous tue à petit feu


J’en reviens pas….

Je comptabilise mes statistiques de pages vues sur mon blogue et en fin de semaine la barre est montée à plus d’un millier.
Du jamais vu!!!
Pour moi, le texte de Stéphane Laporte a fait des petits, c’est extraordinaire le pouvoir du partage.
Dommage que cela ne remplit pas ma tirelire.


Je sens un vent d’espoir face à toutes les informations divulguées ces derniers jours sur les Rois du pouvoir, c’est-à-dire Rozon et Salvail, les invités à l’émission Tout le monde en parle m’ont vraiment émue.
La boule de neige va devenir un Iceberg, si tout le monde commence à dénoncer l’inacceptable qui nous vampirise.

"Mon père, que je ne cite pas souvent, disait que le plus grand danger qui guette un homme pendouille entre ses jambes.( Boucar Diouf)
On ne cachera plus les histoires inacceptables sous le thème de <complots et conspirations>, alors, les vérités pourront naître afin d’éveiller quelques consciences.

Lolo la plus que parfaite XXX

Une nouvelle recherche révèle que se plaindre vous rend littéralement malade et vous tue à petit feu
Une nouvelle recherche révèle que se plaindre vous rend littéralement malade et vous tue à petit feu
Tout le monde le fait à un moment ou un autre, mais jusqu’à quel point la plainte est-elle bonne pour la santé? On pourrait la considérer comme une simple décharge de frustration et la justifier comme un moyen nécessaire pour rester sain d’esprit.

La personne moyenne se plaint au moins une fois par minute au cours d’une conversation.
Ètant donné que nous faisons tous l’expérience de la négativité ou de situations non désirées dans notre vie, c’est un terrain d’entente sûr lequel nous pouvons tous nous identifier.

En fin de compte, rien ne change vraiment grâce à nos plaintes ou tous les sentiments et pensées négatifs que nous dissipons et qui finissent par nous affaiblir.
Axés à l’origine sur le négatif comme un moyen de survie, nous aurions tendance à être plus en accord avec ce que nous ne voulons pas ou apprécier de le changer (d’y apporter un changement). Plus nous posons notre regard sur quelque chose qui peut être blessant, plus nous sommes programmés pour être sur nos gardes.

Se plaindre est une façon de reconnaître un problème sans essayer de le régler. Cela alimente le problème avec plus d’énergie et crée plus de stress. Les plaintes sont à égalité avec le tabagisme lorsqu’il s’agit de notre système de soins de santé.

Le stress causé par le fait de se plaindre endommage constamment les neurones dans l’hippocampe et altère sa capacité à créer de nouveaux neurones ou des chemins neuronaux. L’hippocampe est la partie du cerveau utilisée pour résoudre les problèmes et le fonctionnement cognitif.

Lorsque vous écoutez quelqu’un d’autre se plaindre cela vous affecte de la même manière que si c’était vous-même qui vous plaigniez. Voici quelques façons de limiter les effets de la plainte.

Définissez la plainte, suivez sa fréquence et prenez conscience à chaque fois que vous vous plaignez et pourquoi vous le faites
Une plainte et une constatation sont différentes dans le sens où l’une est une déclaration et l’autre est un sentiment ou une opinion jointe

à la déclaration. « Il fait vraiment chaud à l’extérieur » est une observation. Elle devient une plainte lorsque vous y ajoutez « Il fait vraiment chaud à l’extérieur, et je commence en avoir marre ».

Soyez attentif lorsque vous annoncez une plainte et jusqu’à quel point vous le faites. Vous pouvez le faire devant votre écran ou même en vous parlant à vous-même. Comprendre à quel point cela est un vrai problème est une première étape.

Prenez vos distances avec les pleurnicheurs incorrigibles
Maintenant que vous savez à quel point il est nuisible d’être entouré de personnes qui se plaignent constamment. Si vous êtes coincé dans une situation ou un lieu, essayez d’être proactif et productif vis à vis des problèmes, et proposez des solutions.

Transformez la plainte en quelque chose d’autre
Par exemple avec des déclarations positives telles que, « Je n’aime pas conduire pour aller au travail, mais je suis reconnaissant d’avoir un emploi ». Ne laissez pas vos paroles finir sur une note négative.
Une autre excellente façon de le faire est par le changement, le « Je dois aller au travail » peut être remplacé par, « J’ai la chance d’aller travailler aujourd’hui ».

Une des meilleures façons de retirer les déclarations négatives dans votre vie est en retirant de vos phrases le mot « Je » ou « Moi ». Faites ce que vous avez à faire mais évitez de tirer l’attention sur vous-même si vous ne parvenez pas à être positif.
Sources
Sandra Véringa

vendredi 20 octobre 2017

Ëtre tristesexuel: Super texte de Stéphane Laporte

Merci à Murielle pour ce partage...

Super texte de Stéphane Laporte
❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️💞
Le problème, ce n’est pas qu’une personne aime quelqu’un de son sexe, de l’autre sexe, de son ancien sexe, ou de son sexe à venir. Le problème, ce n’est pas d’être hétérosexuel, homosexuel, transsexuel, bisexuel, métrosexuel, allosexuel ou aurevoirsexuel. Le problème, c’est de ne pas s’aimer. De ne pas s’aimer soi-même. D’être tristesexuel.

Tous les drames sont causés par ça. Des petites chicanes aux tueries. De ce que l’on fait aux autres parce que l’on ne s’aime pas soi-même.

Le premier coming out de tous les humains, ça devrait être : « J’ai une nouvelle à vous annoncer… Je m’aime ! » Après, tout irait mieux.

Mais avant, faudrait savoir ce que c’est, s’aimer. S’aimer vraiment.

S’aimer, ce n’est pas penser qu’on est le meilleur. Qu’on est plus beau que les autres, plus fin que les autres, plus intelligent que les autres. S’aimer, ce n’est pas se servir en premier. Et ne penser qu’à soi. Ça, ce n’est pas s’aimer. C’est se mentir. Parce que si chaque personne pense qu’elle est meilleure que les autres, c’est que tout le monde se ment. Et se mentir, c’est le contraire de s’aimer. C’est nier sa vérité.

S’aimer, ce n’est pas avoir besoin de se mesurer aux autres pour apprécier qui l’on est. S’aimer, c’est réaliser qu’on est un mélange de nos parents, de notre famille, de notre société, de notre culture, de notre environnement, de nos amis, de nos lectures, de nos voyages, de notre isolement, de nos joies, de nos peines, de nos désirs, de nos présences et de nos absences. Qu’on est fait de tout ça. Qu’il n’y a pas deux personnes avec ce mélange-là. Même pas notre jumeau. Qu’on est unique. Donc incomparable. On n’est pas le meilleur des autres. On est le meilleur de soi. Si on s’aime. Parce que si on ne s’aime pas, on peut rapidement devenir le pire de soi. Et ça, ce n’est pas beau.

S’aimer, c’est se dire à soi-même : « Écoute bibi, on va passer la vie ensemble, on n’a pas ben ben le choix, alors on va tout faire pour profiter de chaque instant. Parce que ça ne dure pas longtemps. »

S’aimer, c’est épouser sa réalité. Et ne jamais se laisser tomber. Une fois qu’on s’aime, on fait quoi ? On va vers les autres, pour que cet amour-là fasse des petits. Dans tous les sens du mot.

Admettons qu’on y arrive, qu’on réussit à s’aimer soi-même. Que tout s’éclaircit dans notre tête et dans notre cœur. Comment fait-on pour que les autres s’aiment eux-mêmes, aussi ? Parce que tant qu’ils en seront incapables, on risque d’en payer le prix.

On fait quoi ? On les aime. On les aide. Et surtout, on leur sacre patience. Arrêtons de juger tout le temps ce dont l’autre a l’air, ce que l’autre fait ou ne fait pas. C’est le jugement qui ferme les gens. Qui les fait pourrir par en dedans. Et quand ça sort, ça fait mal. À tout le monde.

Faut arrêter de mettre des gens dans des cases. Personne n’est bien dans une case. C’est trop étroit. C’est peut-être rassurant. Ça fait ordonné. Mais ça fausse toutes les données. Quand on joue au hockey, on a besoin de savoir qui fait partie de quelle équipe. Pas dans la vie. Dans la vie, on est tous dans la même équipe. Pas besoin de se catégoriser. De s’ajouter des préfixes. On est tous sexuels. C’est clair. Surtout l’été. Après ça, soyons-le avec qui on veut, on ne s’en portera que mieux.

Bien sûr, il faut créer des organisations pour défendre les groupes opprimés. Mais il faut viser le jour où l’orientation sexuelle ne sera pas plus provocante que l’orientation musicale. Je vais savoir si tu aimes Brahms ou Bieber si je prends le temps de te connaître. Si je ne le prends pas, écoute qui tu veux. Ça ne change rien à ma musique à moi. Je vais savoir si tu aimes embrasser les gars ou les filles si je prends le temps de te connaître. Si je ne le prends pas, embrasse qui tu veux. Ça ne change rien à ma sexualité à moi.

Pour dominer les peuples, rien de mieux que de leur faire croire que leur malheur est dû aux autres. À une race. À un sexe. À une classe. Ça rassemble. Et ça fait oublier que leur malheur est dû à ceux qui les dominent.

On n’en sort pas. Des gens qui s’aiment s’unissent avec des gens qui les aiment. Des gens qui ne s’aiment pas s’unissent avec des gens qui ne les aiment pas.

Faut s’aimer. S’aimer à 1, à 2, à 100, à 1000, à 8 millions, à 8 milliards.
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mercredi 18 octobre 2017

I AM – Quel est la cause des causes du problème avec notre monde ?

WOW!!!
Un article que j'ai retrouvé sur Facebook ce soir,
J'aimerais bien être bilingue pour comprendre le film...pas grave, j'ai lu le texte et c'est renversant de comprendre une réponse aussi simple et à la fois aussi compliquée.
La base de la nature est la coopération et la démocratie, c'est inscrit au plus profond de notre ADN !
Quand Darwin a écrit "The Descent of Man", il a mentionné le mot "Survie" 2 fois, et le mot "Amour" 95 fois.
Je vous raconte rien, mais j'ai hâte à demain midi.

Lolo la plus que parfaite XXX

Le documentaire I AM est l'histoire d'un homme qui avait tout (millions de dollars, gloire...) jusqu'à ce que quelque chose lui arrive pour lui faire comprendre... qu'il n'avait rien comprit à la vie.
Après une expérience proche de la mort, le réalisateur Tom Shadyac (Ace Ventura) a décidé de déclencher une conversation autour de deux questions rarement posées :
1- Quel est la cause des causes du problème avec notre monde ?
2- Que pouvons-nous faire pour régler le problème ?
tom-shadyac-09Et Tom Shadyac a parcouru le globe interviewant plus grands penseurs contemporains. Et tandis qu'il était en plein tournage de son documentaire, son film révèle un rebondissement tout droit sorti d'un film à succès : la preuve scientifique que nous sommes tous connectés.
Par la scène finale, il est clair que, alors qu'il a commencé à se demander ce qui ne va pas avec notre monde, il a fini par découvrir ce que c'était. Et la réponse va vous estomaquer, mettant en lumière l'un des plus grand mensonge que la Cabale a utilisé pour nous asservir...
Pour voir le film I AM (en anglais), allez sur : http://www.gaia.com/video/i-am#play/5562
Pour ceux qui ne comprennent pas l'anglais, je vais vous présenter ici les grandes lignes du film en français...
Dans les années 1995, Tom Shadyac alors jeune réalisateur totalement inconnu du grand publique, tourne son premier long métrage qui va remporter un gros succès "Ace Ventura", avec l'acteur Jim Carey.
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Grace à ce film qui remporte un oscar, Tom Shadyac devient multi millionnaire et comme tout nouveau multi millionnaire, il s’achète de belles voitures, des grosses maisons un peut partout, fait des fêtes chez lui avec tout le gratin d'Hollywood, bref mène une vie que la majorité des pauvres de la planète qui regardent la vie des autres à la TV, qualifieraient de vie de rêve...
Suite a un accident de vélo ou il se casse le bras, Tom Shadyac se retrouve a l’hôpital, puis en dépression pendant des mois, seul, et finalement il touche le fond.
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Tom Shadyac pensant qu'il allait mourir, se dit alors : "si je dois partir demain, je veux dire aux gens avant de partir ce que j'ai compris. Que le monde dans lequel nous vivons est un mensonge".
Quand il a pu a nouveau voyager, il a réuni son équipe de tournage et ils sont parti dans différents pays pour interviewer les plus grands penseurs de la planète pour leur demander ce qu'il n'allait pas dans ce monde et que pouvions nous faire pour régler le problème ?
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Lynne McTaggart, dit à Tom durant l'interview que l'un des plus grand mensonge que l'Humanité a connu est : "l'Histoire scientifique", ou la science telle qu'elle nous a été racontée.
Lynn parle de l'énormité du mensonge de  Charles Darwin et de son histoire de compétition pour survivre (loi du plus fort). Et a quel point ce mensonge a façonné notre civilisation.
Elle continue en disant que ce mensonge nous fait apparaître séparés les uns des autres et que si nous voulons quelque chose, nous devons le prendre de force à quelqu’un d'autre. Cette macabre loi

mardi 17 octobre 2017

Il n’y a pas de temps. Il n’y en a jamais eu et il n’y en aura jamais


De l’aide invisible…

Hier soir, je m’étais couchée très tôt.
La bonne étoile, Dieu, mon ange gardien, le diable, peu importe, mais je me suis réveillée vers minuit pour aller au ptit coin et j’entends une alarme sonnée.

J’ouvre la porte du corridor en sentant une terrible odeur de feu, je décide d’inspecter les lieux sur mon étage.

Je me préparais à appeler les pompiers jusqu’à ce que je découvre d’où provenait la boucane.
Il était passé minuit et je frappe à la porte plusieurs coups pour réveiller le locataire.
Un homme assez confus m’ouvre et je vois bien à son air que je venais de le sortir de sa torpeur.

L’alarme criait toujours et une épaisse fumée gondolait dans l’appartement.
Il m’assurait que tout allait bien, qu’il n’y avait aucun feu, je me suis presque chicanée avec lui afin qu’il vérifie d’où provenait la fumée.
Il fait le tour de son logis et il me crie qu’il avait laissé des œufs sur le poêle.

Ouff!!!! Il n’y a vraiment pas de hasard et il n’y a pas de temps. Il n’y en a jamais eu et il n’y en aura jamais, un concept à se tordre le cerveau.

Il est très tard, j'ai lu l'article deux fois et je crois que je vais le relire une troisième fois car je n'ai strictement rien compris.

Lolo la plus ...plus...que parfaiteXXX

Il n’y a pas de temps. Il n’y en a jamais eu et il n’y en aura jamais

Tout existe dans le moment présent et c’est un principe fondamental de l’Univers que de nombreux scientifiques essaient toujours de comprendre. Le temps n’existe pas vraiment et la théorie quantique le prouve. Il y a des choses qui sont plus proches de vous dans le temps, et il y a des choses qui sont plus éloignées, tout comme il y a des choses qui sont proches ou éloignées dans l’espace. Mais l’idée que le temps défile devant vous est aussi absurde que d’avoir une idée de ce que l’espace suggère.

Le problème avec le temps a commencé il y a un siècle, lorsque les théories élaborées par Albert Einstein (la relativité restreinte et la relativité générale) ont démoli l’idée du temps comme une constante universelle. Une des conséquences est que le passé, le présent et le futur ne sont pas absolus. Les théories d’Einstein ont également ouvert une faille dans la physique parce que les règles de la relativité générale (qui décrivent la gravité et la structure à grande échelle du cosmos) semblent incompatibles avec celles de la physique quantique (qui régissent le monde de l’infiniment petit).

Selon la théorie spéciale de la relativité d’Einstein, il n’y a aucun moyen de définir des événements que tout le monde peut produire simultanément. Deux événements qui peuvent avoir lieu tous les deux en même temps « maintenant » auront lieu à différents moments pour ceux qui ont un rythme différent. D’autres verront un « maintenant » différent qui pourra contenir des éléments concernant leur argent, mais peut-être que non.

Le résultat est une image connue comme l’univers tout entier : l’univers perçu d’un point de vue improbable dans l’espace et le temps de l’extérieur. Vous pouvez par tous les moyens marquer ce que vous pensez être « maintenant » avec un point rouge, mais rien ne distingue cet endroit d’un autre, sauf que vous êtes là. Le passé et le futur ne se distinguent pas plus physiquement que la gauche et la droite.

Les équations de la physique ne nous disent pas quels événements se produisent en ce moment, ils sont comme une carte sans le symbole « vous êtes ici ». Le moment présent n’existe pas en eux, donc l’écoulement du temps non plus. En outre, les théories de la relativité d’Albert Einstein semblent indiquer que non seulement il n’y a pas un seul cadeau spécial, mais également que tous les moments sont tout aussi réels.

dimanche 15 octobre 2017

LE PLUS GRAND DES AMOURS

Un déluge de pluie ce soir nous rappelle l’automne et je ne m’ennuie pas de l’été.
Emmy dort au pied de mon lit dans un magnifique petit lit gonflé que ses parents m’ont apporté.
Enfin!!! On a trouvé une solution pratique afin que je puisse dormir seule dans mon lit simple, depuis mon déménagement avec Cybèle, c’est sa première nuit à la maison.
Elle m’a demandé pourquoi je vivais avec sa tante Cycy et je lui ai répondu tout simplement,  parce que je l’aime.

 
Une fin de semaine plutôt calme, j’étais prête pour le billard du dimanche, mais je préférais laisser la voiture à Cybèle afin qu’elle se promène avec sa nièce au centre Rosemère.


Je suis tellement fière de moi, j’ai réussi à ploguer mon imprimante, je temporisais depuis plusieurs semaines, car je n’ai pas de disque externe pour installer les pilotes sur mon minuscule portable. Les quelques heures à pitonner à gauche et à droite à faire des recherches m’ont pris tout mon temps de samedi après-midi, en plus, j’ai laissé la parole mécanique à mon ordi et le narrateur a fucky tous mes paramètres.  Malheureusement, plus ça va et plus Windows 10 m’enlève de l’autonomie face à mes décisions informatiques. Il me bombarde d’annonces et me prend en otage avec ses intégrations de nouveaux logiciels.


Parlant décisions, j’en ai pris quelques une cette semaine face à mon célibat, je laisse la place à l’imprévu…advienne que pourra.

Hier soir, une belle surprise complètement inattendue
sur Réseau Contact a enjolivé ma soirée.
Les premiers échanges épistolaires avec un homme plus que charmant m’ont redonné le goût de séduire.
C’est une histoire à suivre naturellement, moi qui ne veux surtout pas traverser trois ponts pour un rendez-vous, c’est, bien possible que le train soit le seul moyen disponible afin d'établir un point de rencontre.


L’écriture c’est bien, mais la voix, les yeux, les paroles doivent correspondent à mes espérances, on planifie une partie de billard et je n’ai aucune idée si elle va se concrétiser d'ici les mois à venir.

En attendant, demain je dois reconduire Emmy à l’école et je dîne avec les Belles-Sœurs, c’est la fête à Diane.


Lolo la plus que parfaite XXX

LE PLUS GRAND DES AMOURS
Le plus grand des amours qui puisse exister est celui qui se trouve sur le plan de l’âme. Lorsque nous bâtissons une relation avec la pleine conscience de nos âmes, le lien que nous ressentons est de nature profonde. Il transcende les limites inhérentes à nos relations humaines et romantiques, et nous donne un aperçu de notre véritable magnificence spirituelle. Au niveau de l’âme, nous nous reconnaissons les uns les autres et nous savons que chaque relation, modeste ou exceptionnelle, n’est qu’un minuscule flocon de neige faisant partie de l’immense avalanche de lumière blanche et exubérante qui constitue l’amour du monde.

Pendant que nos relations changent et que nous-mêmes changeons au fil des jours, nous apportons la preuve qu’il est possible d’aimer consciemment, peu importe la forme que cet amour peut prendre, peu importe ce qu’il peut contenir de surprenant et de bizarre. Nous découvrons que le rapprochement de deux personnes s’effectue à un moment particulier et qu’il a un caractère merveilleusement unique, que la fin d’une relation peut aussi être un début, que chaque fois qu’il y a une transformation énergétique et qu’une nouvelle relation naît, nous abordons une autre vie et nous nous préparons à de nouvelles possibilités. Il est fort probable que le processus soit un vrai supplice, mais même ce supplice peut s’avérer une gratification, car il nous ramène à la profondeur de nos émotions. Il nous ramène à notre propension à la passion, au pardon, à la générosité et à l’expansivité, ainsi qu’à notre besoin d’aimer et d’être aimé.

Bien que nous ne puissions pas encore nous voir dans notre intégralité ni comprendre la direction de notre route, nous faisons tous partie de l’histoire humaine en devenir. Nous avons été appelés à faire œuvre de pionnier dans cette phase de l’expérience humaine, une phase au cours de laquelle les formes se désagrègent pour permettre à nos âmes d’atteindre le plan suivant. Dans ce processus, les vieilles formes usées de relation sont transformées et éliminées, nous versons d’abord des larmes parce que nous avons perdu quelque chose et nous saisissons ensuite la queue d’un cerf-volant qui nous élève toujours plus haut dans les sphères de la conscience. Privilégiés d’avoir été engagés dans ce processus, nous avons la possibilité de connaître le véritable amour dans notre vie

L’amour qui nous réunit, peu importe de quoi il a l’air, n’est rien d’autre que l’énergie de l’âme. Cette énergie a voyagé pendant des vies afin de trouver son expression dans ce moment précis, dans cette relation-là. Noble et généreuse, elle coule à flots sur chaque difficulté et défi que nous rencontrons, dissolvant ainsi la souffrance, manifestant de la beauté et transformant tout ce qu’elle touche sur son passage. Aucun défi n’est trop imposant pour le véritable amour, aucune distance n’est trop grande à parcourir.

En tant qu’âmes, nous connaissons un secret : l’expérience humaine que nous vivons est un enseignement par lequel nous nous rappelons ou découvrons que nous sommes des êtres spirituels. Ceci étant une vérité et bien entendu, la seule vérité qui englobe toutes les autres , nous pouvons cesser de nous torturer alors que nous vivons ces nouvelles et extraordinaires formes de relation parce que nous savons que nos âmes les ont désirées. La moindre d’entre elles est mise en œuvre par notre âme pour nous faire connaître nos profondeurs et nous amener à nous incliner devant le fait que nous sommes des êtres spirituels qui vivons des vies humaines.

extrait du livre : le futur de l’amour , édition ARIANE
Livres conseillés, cliquez sur l’image :

samedi 7 octobre 2017

Vive le rythme et la danse

Ce post sur Facebook m'a donné vraiment le goût de danser.
Mettez le volume au MAX....

Finalement une petite partie de billard après souper avec Cybèle sera mon activité de la journée et je danserai dans mon salon en revenant.

L’échelle de Riche-Coeur, vous connaissez ?

Mon journal pour aujourd’hui


Toute une semaine…
Samedi soir dernier, j’étais en bonne compagnie avec un ami qui n’est pas mon amoureux, mais que j’apprécie beaucoup.
Dimanche, c’était ma journée de billard et lundi j’accompagnais ma sœur au golf en lui servant de caddy.
Une merveilleuse journée ensoleillée au Mont-Tremblant mardi m’a permis d’admirer le décor pas tout à fait automnal des Laurentides en compagnie de mes filles.

Je vis quelques périodes normales d’ennui comme tout le monde, mais je trouve que je m’en sors assez bien.

Je me suis réinscrite sur Réseau Contact et je n’ai aucune idée comment je pourrais bien relancer mon profil, chose certaine il est loin d’être le même que l’an dernier, mes attentes sont sans but précis. L'amour avec un grand A ne fait plus partie de mes critères, je recherche simplement quelqu'un avec qui je pourrai partager quelques sorties et des bons moments à l'occasion.

Aujourd'hui, j’ai décidé de mettre un peu d’ordre dans mes vêtements et laisser ma vie sentimentale faire un tour dans les oubliettes.
La tête la première dans le fond de ma garde-robe à évaluer et répartir mes vêtements d’automne tout en constatant la qualité et le style de certains. J’aimerais bien faire honneur à toutes ses fringues en me trouvant un ami qui serait prêt à m'accompagner dans quelques sorties intéressantes.

Comme disait mon coiffeur, c’est vrai que je suis coquette, j’aime bien l’élégance et le raffinement et ce n’est pas pour rien que j’y ai travaillé pendant plusieurs années.

Le regard de mon miroir d’une femme dépassant la soixantaine avec un corps transformé et les quelques rides qui s’épanouissent me fait peur quelques fois, mais je m’adapte à mon image en essayant de la vivre avec le plus de sérénité possible.


L’échelle de Riche-Coeur, vous connaissez ?

Je viens de relire ce texte que j’avais publié l’année dernière à la même date sur mon blogue Gravoline.

Ce livre m'a procuré un plaisir évident et les citations ne manquent pas, ce n'est que du bonheur et du gros bon sens.
Je vous transmets le chapitre 7...un peu long à lire, mais il en vaut la peine.

Lolo la plus que parfaite XXX



L’échelle de Riche-Coeur, vous connaissez ?
De la passion À la tendresse

‘’On parle pour parler, on écrit pour penser’’
Le seul endroit où l’on trouve le bonheur avant d’en avoir payé le prix,, c’est dans le dictionnaire; par surcroit, le seul moment où on l’on en jouit, c’est dans l’instant présent.
La vie est un rouleau de papier de toilette; plus on arrive à la fin, plus ça va vite
À LA RECHERCHE DU SOURIRE ABSOLU
On n’est pas beau quand on pleure...
La vraie motivation vient des « tripes » bien plus que du cerveau : le sentiment fait agir alors que la logique fait réfléchir.
Je réunis dans ce livre 32 années de réflexions ; parfois entendues, d’autres fois lues ou souvent observées dans le quotidien. Ces réflexions sont le fruit de mon imagination et s’il est un cadeau qui m’a été donné par Dame la Vie, c’est bien cette capacité créatrice de dire avec des mots ce qui se passe dans ma perception des choses. Quand on s’en tient aux faits, on est journaliste ou historien ; quand on colore de sa créativité les personnes et les circonstances, on est conférencier ou écrivain. Vous me demanderez peut-être de quel titre dois-je me vêtir ? Je dirais COMMUNICATEUR !
Qu’ils soient porteurs de joies ou de larmes, il y a des moments de nos vies qui sont plus grands que nous et qui ne relèvent pas vraiment de nous ; qu’on les ait provoqués ou qu’on en soit victimes, ceux-ci font voir aux autres un visage de soi qui ne nous appartient pas non plus ! L’écriture de ce livre dépend de moi bien sûr, mais je dois admettre que c’est surtout l’illustration de ce qui m’a été inspiré de meilleur par mon entourage présent et passé. Une illustration donne de la couleur à un principe parfois gris.
L’auteur a réussi cette belle synthèse entre ses lectures des grands auteurs, sa fréquentation assidue des meilleurs conférenciers nord-américains et sa réflexion personnelle qui nous fait goûter de nouvelles saveurs, sans arrière-goût de réchauffé! Il évite les traditionnels « CE QU’IL FAUT CROIRE » et « CE QU’IL FAUT FAIRE » pour privilégier davantage les « J’AI REMARQUÉ »… et les « J’AI DÉCOUVERT » tellement plus sympathiques. Chacun a l’impression d’écouter le récit d’un maître de l’esprit qui, même devant un grand groupe, s’amuse à philosopher tout haut, sur un ton quasi intime et avec humour. En y regardant de plus près, on découvre une démarche à la fois rigoureuse et curieuse.
Né à Beauport en 1945, qu’est-ce qui a donné la « piqûre de la communication » à Simon Blouin ? Certainement pas ses études en administration à l’Université Laval ! Sûrement pas non plus sa carrière dans le domaine de la finance ou encore ses cinq années à la Banque de Montréal où il obtient consécutivement cinq mentions d’honneur « MILLION DOLLAR CLUB ». Il découvre par lui-même ses talents d’orateur et c’est en 1985 qu’il amorcera sa carrière de conférencier professionnel sur des sujets qui le passionnent : la motivation personnelle, les attitudes des gagnants, la réussite et la qualité. Véritable pionnier dans ce domaine, il en compte maintenant près de 2 700 auprès de 550 clients.

Chapitre 7
De la passion À la tendresse
Nos amours, comme la vie et nos carrières, sont un
jeu, et jouer doit être amusant, en plus de s’accomplir
dans le respect absolu des règles de l’art.

De même, en amour, s’attendre à ce que l’autre devine ce que l’on veut
mène à l’échec, paraît-il ! Il faut le lui dire !

Voici une recette simple, se limitant à trois ingrédients,
récemment divulguée à la télé par une sexologue : de
l’humour dans la relation, de la confiance afin de dire ce
que l’on attend de l’autre et le droit à la dispute qui évitera
l’explosion d’un trop-plein de non-dits. Yvon Dallaire,
notre psychologue chouchou québécois ajoute : « La très
grande majorité des problèmes conjugaux, à savoir l’argent,
l’éducation des enfants, les relations avec les belles-familles,
le partage des tâches, la limite entre la vie privée et la vie
professionnelle et la sexualité, est insoluble. »