mardi 27 juin 2017

Un deux dans un



Un deux dans un aujourd’hui, j’ai la tête à l’écriture.

Une journée parfaite pour faire disparaître quelques vitres des cadres de mes toiles, finalement, je trouve qu’elles sont beaucoup plus belles sans les reflets de miroir.
Avec toute la texture des médiums, on apprécie mieux les couleurs et les reliefs.

Les temps d’orage d’automne m’évitent l’air conditionné, mais je dois trouver une solution au plus vite pour faire tenir ma vitre plexis glass dans ma fenêtre, je pensais avoir trouvé la solution…mais non, tout a décollé.

En attendant May West qui venait souper et jouer quelques parties de Rummy, je me suis attardée sur quelques publications philosophiques et psychologiques MGM sur Google.

Les propos d’hier d’un ami sur la confiance et le pardon refont surface à ma mémoire
Quand nous créons constamment un mécanisme de protection afin de ne pas répéter une situation similaire.
Quand nous sommes incapables de nous pardonner d’avoir trop fait confiance car les conséquences ainsi que les émotions sont encore présentes et surtout…surtout….l’écorchure à notre égo, notre fameux MOI qui accepte difficilement les erreurs de parcours que nous aurions dû voir venir de loin avec nos bagages de connaissances supposément acquis.

Dans l’immédiat, est-ce que nous avons besoin de nous pardonner et d’arrêter de nous planter des clous dans la tête pour un événement qui s’est produit il y a plusieurs années ou bien reprendre confiance aux gens qui nous entourent tout en restant dans le gros bon sens. …voilà la question qui tue!!!

Lolo la plus que parfaite XXX



La méfiance: manque de confiance ou mécanisme de protection?
De nos jours, la méfiance est de rigueur dans les relations.
Les femmes se méfient des hommes et les hommes des femmes.
Phénomène de société, blessures du passé, peur d’être déçu ou de souffrir à nouveau?
Les explications sont nombreuses car la méfiance est une attitude complexe. Parvenir à en découvrir les motivations sous-jacentes aidera à mettre en perspective les gains qu’elle apporte et à s’en libérer.
Se méfier par manque de confiance
Dernièrement, des amis français me confiaient le climat de méfiance dans lequel beaucoup vivent en France, tellement les abus deviennent monnaies courantes. Le contexte socio-économique semble inciter les gens à la prudence pour se prémunir des abus.
Manque de confiance en l’autre, à tort ou avec raison, cette prudence peut être salutaire du moment qu’elle aboutit à des réponses concrètes permettant d’affirmer son utilité en instaurant un climat de confiance. La prudence invite souvent à la patience, complice d’une décision avisée.
La méfiance peut donc être salutaire pour une personne encore « naïve », par manque d’expérience ou par excès d’optimisme. Sa présence dans une relation amoureuse peut indiquer l’évolution vers une forme de maturité acquise au prix de déboires. Une sorte de transition d’un amour passionnel vers un amour plus sophistiqué.
La méfiance, séquelle d’anciennes blessures
Toutefois, si les blessures du passé s’immiscent et que la peur de commettre une erreur ou d’être dans l’erreur — sans raisons valables — apparaît, la rancune et la susceptibilité vont s’accumuler. Du fait d’une perception exagérée des situations et des relations, la méfiance engendre facilement et pour longtemps des angoisses, de l’anxiété et des tensions relationnelles.
La personne méfiante éprouve le besoin d’être sur ses gardes et ne peut gérer l’ambiguïté émotionnelle que suscitent en elle les évènements. Bon nombre de croyances issues de leçons, souvent chèrement payées en lien avec des situations vécues comme des abus conduisent à une image de soi dévalorisante. Cette faible estime de soi contribue indéniablement à cristalliser ce comportement de protection vis-à-vis des autres.
Un mécanisme de protection épuisant
La méfiance est alors une sorte de lutte quasi continue en soi, qui inconsciemment, est projetée dans la relation à l’autre. Loin de satisfaire un besoin de sécurité, ce mécanisme alimente le sentiment d’insécurité qui est provoqué par une recherche démesurée de preuves d’abus, de méchanceté, de manipulation, de mensonges, etc.
La frontière est mince entre méfiance et paranoïa et pas toujours évidente à percevoir. Malgré tout, en observant les résultats des comportements adoptés, il est possible de savoir si cette attitude facilite ou complique la situation ou votre relation.
Ainsi, une femme qui a des doutes sur la fidélité de son partenaire, dont elle est séparée par un océan, peut avoir raison d’être prudente, le temps de mieux connaître l’autre. Par contre, si une sorte de jalousie s’installe, que presque tous les faits et gestes sont remis en question, il y a davantage de risques d’obtenir un éloignement du conjoint et de créer soi-même la preuve justifiant cette attitude qui renforce votre insécurité.
Pire encore, cela peut même finir par pousser votre conjoint à agir de manière à vous donne raison. Après tout, c’est une façon comme une autre de provoquer la séparation et de mettre un terme à une jalousie étouffante.
La prudence, une bonne dose de méfiance
Autrement dit, la méfiance peut être à la fois un signe de prudence, de maturité, de désir de protection, que de manque de confiance en l’autre et en soi.
Elle peut aussi indiquer la nécessité de confronter vos peurs, de prendre conscience des situations où vous êtes anxieux, de mettre à jour des blessures non cicatrisées, de reconnaître le besoin de prendre plus son temps, de chercher des réponses à des questions légitimes et une plus grande sécurité.
Parfois, la méfiance est la solution. D’autres fois, elle maintient l’angoisse de l’inconnu. C’est une question de dosage et de pertinence compte tenu d’un contexte donné.
De la méfiance au lâcher-prise
En somme, si vous n’avez point besoin de faire preuve de prudence, alors la méfiance sera un obstacle au lâcher prise. Elle engendrera des angoisses irréalistes. Inutile donc de chercher à vous faire du mauvais sang pour ce que vous ne pouvez contrôler! Pour apprendre comment lâcher prise, lisez mon livre: L’art de lâcher prise, publié aux Editions Le Dauphin Blanc.
Apprenez plutôt à accepter que la sécurité absolue est une quête utopique et qu’un peu de mystère contribue à rehausser la saveur de la vie qui risquerait de devenir trop fade sinon.
Développez une nouvelle attitude, une souplesse, une plus grande assurance et ouvrir un espace à l’autre peut créer un réel climat de confiance. Réglez vos blessures du passé, apprendre à s’auto critiquer et à s’auto valoriser, apprendre à interpréter avec plus de réalisme que de pessimisme les comportements des autres sont autant de pistes de solutions à mettre en place pour parvenir à cultiver une plus grande confiance en soi-même et délaisser la méfiance.

COMMENT SE PARDONNER À SOI?
Par Diane Gagnon le 22 juin 2015

Tous les articles sur le pardon suscitent de nombreuses réactions. Bien des gens pardonnent pour être en paix, d’autres refusent de pardonner tant que l’autre personne n’en a pas fait la demande. Certains préfèrent la vengeance ou garder rancune.
Toutes ces formes de pardon – ou de non-pardon- représentent notre attitude envers les autres. Mais aussi de notre attitude envers nous-mêmes.
Qu’en est-il lorsque vient le moment de se pardonner à soi? Sommes-nous aussi sévères? Ou davantage, ou moins durs?
Nous négocions parfois avec notre conscience pour tenter d’effacer de notre mémoire un acte que nous avons posé ou une parole que nous avons dite et que nous préférerions oublier.
Les études semblent démontrer que nous avons moins tendance à nous pardonner qu’à pardonner aux autres. Et moins nous nous pardonnons, moins nous sommes portés à pardonner aux autres.
Pourtant, comme rien n’est inutile et que tout a un sens, les « erreurs » que nous avons commises et que nous avons de la difficulté à nous pardonner sont aussi des étapes importantes de notre croissance. Lors de ces choix que nous regrettons, nous avons fort probablement appris des leçons importantes sur nous, sur ce que nous ne voulons plus répéter, sur ce qui a vraiment de l’importance pour nous.
Rares sont les occasions où nous avions vraiment l’intention de blesser quelqu’un. Nous avons plutôt été malhabiles, inconscients ou en réaction, sur la défensive. Si nous sommes capables de demander pardon à l’autre et si celui-ci nous pardonne, nous devons le faire pour nous-mêmes aussi. Il ne sert à rien de traîner une culpabilité qui nous ralentit dans notre évolution.
Si l’autre ne nous pardonne pas, il nous revient de faire la paix avec ce que nous regrettons : nous avons fort probablement fait du mieux que nous pouvions à ce moment-là. Quel apprentissage pouvons-nous faire de cette « erreur »? Qu’est-ce que l’Amour essaie de nous enseigner à travers cette culpabilité?
Et à partir de maintenant, si nous gardons nos intentions pures, si tous nos gestes et nos paroles procèdent de l’Amour et sont guidés par l’Amour, nous n’aurons plus besoin de nous pardonner quoi que ce soit puisque nous ferons toujours du mieux que nous pouvons, sans mauvaise intention et avec amour. Si d’aventure nous blessons l’autre, ce ne sera pas volontairement; l’autre demeure responsable de sa réaction. Nous pouvons toujours nous excuser, mais nous ne sommes pas coupables de sa réaction, puisque nous étions bien intentionnés.
En nous branchant sur l’Amour, en toutes circonstances, et en laissant l’amour guider nos gestes, nos paroles et nos pensées, nous agissons toujours de la meilleure façon possible. Ainsi, nous ne créons rien de nouveau à nous pardonner. Et nous sommes en paix avec notre âme et conscience.
Car se pardonner à soi-même, c’est la plus belle preuve d’Amour de soi.
Diane Gagnon


Est-ce que la joie est plus forte que la tristesse


S’il y a quelque chose que nous voulons soigneusement éviter, c’est bien la tristesse et les épreuves.

Comme nous vivons dans un monde tangible, nous sommes souvent tentés de placer notre confiance dans nos actions, dans notre travail, dans l'amour,  dans nos biens matériels ou dans nos forces et aptitudes personnelles. Mais nous pouvons perdre n’importe laquelle de ces choses-là en un clin d’œil.


On peut se péter les bretelles en pensant qu’on a trouvé la solution au bonheur mais la vie nous ramène toujours au bon endroit à savoir que nous sommes humains et loin d’être parfait.

Hier, j’étais dans la joie et je prends le risque de subir la tristesse car la joie du moment est tellement forte que j’en oublie les lendemains.
Ces ptits moments de bonheur se réchauffent dans mon cœur et je les garde précieusement dans mon esprit.


On a strictement rien d’acquis, les enfants, l’amour, l’argent, la santé tout peut éclater sans aucun avertissement.
Il faut alors apprendre à traverser toutes ses épreuves et retrouver les forces qui nous animent en donnant un sens à notre vie en profitant de chaque instant de bonheur.

Est-ce que la joie est plus forte que la tristesse….Khalil Gibran y répond parfaitement.


Lolo la plus qu'imparfaite XXX

Le Prophète/La Joie et la Tristesse
Puis une femme dit : Parlez-nous de la Joie et de la Tristesse. Il répondit :
Votre joie est votre tristesse sans masque.
Et le puits même d’où fusent vos rires fut souvent rempli de vos larmes.
Et comment peut-il en être autrement ?
Plus la tristesse évide l’intérieur de votre être, plus vous pouvez contenir de la joie.

La coupe qui recueille votre vin, n’est-elle pas la coupe même qui fut cuite dans le four du potier ? Et le luth qui apaise votre esprit n’est-il pas du même bois qui fut travaillé au couteau ?

Quand vous êtes joyeux, regardez profondément en votre cœur et vous trouverez que seul ce qui vous a rendu triste vous apporte la joie.

Et quand vous êtes plein de tristesse, regardez de nouveau en votre cœur, et vous verrez qu’en vérité vous pleurez ce qui fut votre délice.

Certains d’entre vous disent : "La joie est plus grande que la tristesse", et d’autres disent : "Non, la tristesse est plus grande".

Mais je vous le dis, elles sont inséparables.
Ensemble elles viennent, et quand l’une est assise seule avec vous à votre table, souvenez vous que l’autre dort dans votre lit.
En vérité, vous êtes comme une balance suspendue entre votre tristesse et votre joie.
C’est seulement lorsque vous êtes vide que vous êtes immobile et en équilibre.
Lorsque le gardien du trésor vous soulève pour peser son or et son argent, il faut alors que votre joie ou votre tristesse s’élève ou s’abaisse.

vendredi 23 juin 2017

L'oubli est indispensable au bon fonctionnement du cerveau


Je suis en chicane avec Emman et je me demande laquelle de nous deux fera les premiers pas pour rompre nos silences si on finit par oublier ce qui nous a amené dans cette situation.
La semaine dernière, je me sentais comme dans un coma existentiel, j’étais certainement trop centrée sur moi-même et l’égoïste sans coeur en moi qui admet ses limites s’est manifesté.

Cybèle depuis ce temps, fait la porte-parole en me donnant quelques nouvelles de sa sœur.
En tout cas, c’est certain qu’Emmanuelle s’est rendu compte que sa mère est plus qu’imparfaite … BREFF!!! je suis la pire des mères.

Nos filles doivent comprendre que l’on n’a jamais la mère que l’on veut; nous n’avons pas eu la mère idéale et leur fille ne l’aura pas non plus. «C’est le deuil le plus difficile à traverser, admet Doris-Louise Haineault. Mais il faut passer à travers, se réaliser soi-même. C’est maintenant à la fille de jouer.»
Une chance que mes toiles avancent, la semaine prochaine je projette d’aller voir une ptite galerie d’art à Ste Thérèse.

Je suis presque toujours à mes pinceaux, c’est une job à plein temps sauf que je n’ai ni de boss, ni d’argent…c’était mon challenge et je l’assume, mais je me sens terriblement isolée malgré le bonheur que cela me procure.
Au moins, cela me tient très occupée, car réellement la vie serait bien plate à écouter la télé ou être sur Facebook toute la journée.

Lolo la plus qu’imparfaite XXX 


L'oubli est indispensable au bon fonctionnement du cerveau
Marie-Céline Jacquier
Futura Sciences

L'oubli est un élément essentiel à l'intelligence humaine car il permet de se concentrer sur ce qui est important. Une mémoire efficace ne se conçoit pas comme une accumulation de données : la conservation d'informations trop précises peut en effet s'avérer contre-productive.
En général, on considère qu'une bonne mémoire permet de retenir de nombreuses informations sur une longue période. En neurobiologie, ces problèmes révèlent souvent des pathologies. Mais l'oubli reste indispensable au bon fonctionnement du cerveau. C'est ce que rappellent deux chercheurs de l'université de Toronto dans un nouvel article paru dans Neuron, où ils dressent un parallèle entre la mémoire humaine et la mémoire artificielle.

Le cerveau ne fait pas que du stockage de données, il s'évertue aussi à les effacer. Comme l'explique Blake Richards, l'un des deux chercheurs, « il est important que le cerveau oublie des détails non pertinents et se concentre plutôt sur les choses qui vont aider à prendre des décisions dans le monde réel ». D'après les auteurs, l'objectif de la mémoire n'est pas de transmettre l'information la plus fidèle, mais plutôt d'optimiser la prise de décision en ne conservant que celles de valeur.

L'oubli est aussi important que le souvenir

Certains mécanismes favorisent la perte de mémoire. L'un d'eux consiste à affaiblir, voire éliminer, des connexions synaptiques entre neurones qui servent à coder la mémoire. Un autre mécanisme en génère de nouveaux à partir de cellules souches : quand les neurones s'intègrent dans l'hippocampe, les nouvelles connexions remodèlent les circuits existants, ce qui rend plus compliqué l'accès à certaines informations. Ceci expliquerait pourquoi les enfants, chez qui l'hippocampe produit plus de nouveaux neurones, oublient beaucoup d'informations.

L'oubli permet de s'adapter à de nouvelles situations en laissant de côté des informations datées et trompeuses qui ne sont pas forcément utiles dans un environnement qui a changé. « Si vous essayez de naviguer dans le monde et que votre cerveau émet constamment de multiples souvenirs conflictuels, cela rend plus difficile une prise de décision éclairée » explique Blake Richards.
Commentaire : Voir aussi :
Comment les émotions forgent nos souvenirs
Les souvenirs seraient transformés chaque fois qu'ils sont évoqués
La voie vers la mémoire

lundi 19 juin 2017

Un peu plus de chaleur humaine pour plus de bonheur


Malgré les canicules, la chaleur humaine y a rien de tel pour augmenter mon moral, cela restera toujours un des besoins qui me donnera toujours beaucoup de bonheur.

La sexualité c’est complètement différent si on la regarde de plus près. (futurs sujets Olé..Olé..peut-être à venir)

Mais revenons à nos moutons, le texte que je publie se retrouve parmi le seul que j’ai lu sur le sujet et c’est de la pure psychopopMGM.


Il mentionne que l'affectivité est différente de la chaleur humaine, alors là, j'ai de la misère à les suivre
Elle est sécurisante, elle suppose le respect de l’autre dans la présence et de la considération.
« Lorsque nous venons au monde, nous sommes dépendants de notre environnement pour survivre. Cette survie dépend non seulement de la nourriture physique, mais aussi comme je l’ai mentionné précédemment d’une saine nourriture émotionnelle. L’amour, la chaleur humaine, l’attention, la tendresse, la patience, l’empathie et la joie sont quelques-uns des ingrédients de cette nourriture émotionnelle nécessaire au développement d’une autonomie émotionnelle.
https://www.psycho-ressources.com/bibli/autonomie-affective-emotionnelle.html 
Alors toute ma vie j’aurai besoin de chaleur humaine même si je suis une femme solitaire qui se croit indépendante.
La chaleur humaine, je peux toujours la retrouver parmi mes enfants, ma famille, mes amis, mais pour le moment je sens un vide affectif et la chaleur humaine d'un homme avec qui je me sentirais bien me manque un peu.

Lolo la plus qu'imparfaite XXX

Un peu plus de chaleur humaine pour plus de bonheur
laurence
Aujourd’hui, nous sommes de plus en plus souvent face à des situations de solitude dans notre vie de tous les jours. Les raisons sont nombreuses : démantèlement de la famille, machines remplaçant l’être humain... La vie quotidienne, de plus en plus trépidante et routinière, nous a coupé de cette chaleur humaine pourtant essentielle à notre bonheur.
 
Précision sur la notion de chaleur humaine
La chaleur humaine est différente de l’affectivité Elle est sécurisante, elle suppose le respect de l’autre dans la présence et de la considération. Elle est bien distincte de l’empathie aussi. On est proche tout en étant bien distinct. C’est grâce à ce comportement que nous allons pouvoir développer de vraies qualités d’écoute. L’affectivité au contraire étouffe, car d’une manière inconsciente, on utilise l’autre pour compenser nos manques. Définition de la chaleur humaine Du fait même de sa définition, la chaleur humaine permettra d’ensoleiller les vies de ceux qui nous entourent. Et même dans un cadre particulier, elle suffira à apaiser des situations : victimes de violence, suicidaires, dépressifs, couples en conflit... Avec la chaleur humaine, on est toujours dans une relation de donner/recevoir. C'est-à-dire, qu’en donnant, on partage un moment, parfois même un instant très court de bonheur. Qui n’est pas heureux de recevoir un sourire en retour du sien. On offre et on reçoit, le plus souvent. C’est ainsi que s’équilibrent ces relations qui ne sont pas ternies par une relation d’affectivité qui la rende plus compliquée.
En quoi la chaleur humaine apporte-t-elle le bonheur ?

En évoquant l’échange et le partage, nous avons déjà commencé à y répondre. Le sentiment de confiance : il est d’autant plus fort que nous nous sentons écouté, mais en toute liberté. La notion d’obligation inhérente à l’affectivité existant dans les liens familiaux (par exemple), a là, complètement disparu. Nous ne subissons pas, mais nous sommes dans l’échange librement consenti. Un sourire, des paroles échangées avec des gens qui nous sont affectivement étrangers procurent beaucoup de bonheur. Le sentiment de sécurité : il est opposé au malaise de la solitude. Le monde nous semble donc moins hostile. Nous avons tous besoin de sentir la chaleur humaine autour de nous pour que la vie soit plus belle. Des gestes simples d’entre-aide et d’échange réels permettent d’en distribuer autour de soi. Que nous en soyons l’objet ou l’auteur, ils ajouteront quelques pierres à l’édifice de notre bonheur. Plus le monde a évolué et plus l’échange spontané a disparu ainsi que notre vision des autres.

dimanche 18 juin 2017

Soyez vous-même et les bonnes personnes arriveront dans votre vie


077 Le jardin de l'éléphant


Un dimanche matin de canicule et d'orages violents à venir.

Aujourd’hui, je me serais bien trempé les orteils dans la piscine de Tilou2.
Dommage, je lui ai posé un lièvre cette semaine et notre relation amicale se termine par un éloignement.

Les dimanches se suivent et ne se ressemblent pas comme tous les jours d’ailleurs.

Dimanche dernier, je me sentais comme transporté dans un monde différent qui ne m’appartient pas et aujourd’hui ma réalité se transforme dans l’ennui d’une femme solitaire.

Je me donne un coup de pied dans le cul, malgré la chaleur et l’humidité j’ai décidé d’aller voir mes ptits amis au dernier dimanche de billard. L’air conditionné pourra peut-être me remettre les idées à la bonne place et les fous rires me rendre un cœur qui a le goût de danser.

Je remets un sourire sur mes lèvres en essayant de croire que la vie est merveilleuse, l'aide de la psychopop moléculaire génétiquement modifiée m'aidera peut-être à me sentir un peu mieux en restant moi-même en toute circonstance, mais en attendant ce n'est que du bla..bla..bla à mon esprit.

La femme Olé..Olé en moi est bien tranquille depuis un certain temps et pour ce qui est des bonnes personnes qui arriveront dans ma vie, elles doivent certainement vivre à l'étranger dans des pays lointains sans aucun passeport.

Lolo la plus qu’imparfaiteXXX



Soyez vous-même et les bonnes personnes arriveront dans votre vie
075 Le voyage
Soyez authentique, rêveur-se, aimable, parfois têtu-e et même avec une touche de folie qui vous rend unique. Soyez vous-même, défendez votre identité à chaque instant de votre vie même si beaucoup n’aiment pas vos bizarreries, vos opinions ou vos manies. Maintenez votre essence et les bonnes personne arriveront au moment où vous vous y attendez le moins.

Cette idée qui, à première vue, semble tout à fait logique, compréhensible et probable, est l’une des principales raisons pour lesquelles une personne consulte un-e psychologue. Les symptômes sont quasiment toujours les mêmes : épuisement social, fatigue physique extrême et la sensation que l’on a perdu le rythme, que l’on se retrouve dilué-e au milieu des priorités des autres, des pressions de l’entourage et du son d’un monde auquel on ne s’identifie plus.

«Le défi le plus difficile est d’être soi-même dans un monde qui essaie toujours d’être quelqu’un d’autre.»
-EE Cummings-

Quand nous cessons d’être nous-même pour être ce que les autres attendent de nous, nous perdons le plus beau de notre être : l’identité propre. Et plus encore, lorsque nous laissons de côté ce qui nous rend unique pour devenir une personne «standard», attentionnée et maniable pour que tout s’y ajuste, en permettant à des personnes que nous préférerions loin d’entrer dans notre vie.

Petit à petit, et sans que nous ne nous en rendiont une tonalité grise, où il n’existe ni la brillance qui inspire ni la spontanéité qui réjouit et motive. Ainsi, il est de notre responsabilité de découvrir et de défendre notre propre lumière, ce qui nous rend différents, ce qui fait de nous des êtres inimitables dans un monde dans lequel nous serions tou-te-s remplaçables.

076 La robe rouge aux pois mauves

Être soi-même dans un monde de personnes similaires
William Ury, co-fondateur du programme de négociation de l’Université de Harvard, est l’un des plus grands experts des sujets de communication. Nombre de ses travaux sont des contributions précieuses au champ de la croissance personnelle. Dedans, on décrit aussi certains processus psychologiques grâce auxquels on apprend à être plus heureux-se dans des environnements personnels, sociaux et professionnels complexes et très demandeurs.

Dans le livre Getting to Yes with Yourself («Obtenez un Oui de vous-même», en français) du docteur Ury, il nous explique que le plus grand problème que les personnes ont lorsqu’elles communiquent, qu’elles souhaitent arriver à un accord ou même établir des relations personnelles significatives, c’est qu’elles ne croient pas en elles. Quand on se sent pas sûr-e de soi, on porte des masques, on s’habille avec des armures et on chausse des chaussures de plomb. Si nous vivons avec la peur, nous attirons l’échec à tous les niveaux.