lundi 20 novembre 2017

Voilà, c’est dit. Se plaindre rend malade physiquement.

Je ne veux pas me plaindre, mais je trouve ma vie drôlement plate de ce temps-ci. 


Pourtant hier après-midi, je me suis bien amusée au billard, mais c’est dans la soirée que le moral a planté lors d’une rencontre café d’un gars sur Réseau Contact.
J’espérais bien après quelques jours de bla..bla..bla…sur messenger rencontrer un homme avec une tête sur les épaules et assez grand pour que je puisse mettre des talons hauts, mais après quelques paroles je voyais bien que je ne pourrais pas vivre avec lui les dix prochaines années.
Pas facile de trouver quelqu’un à sa mesure surtout quand on a absolument aucune idée de la mesure à évaluer.
 

Je n’ai pas de but précis et je crois que cela peut être la cause du problème si on peut appeler ça un problème.
Je me dis que ce n’est pas la fin du monde, j’essaie de voir les bons cotés de la vie… je suis en santé, je paye mes comptes et la famille va bien mais j’ai quand même le moral dans les talons et je soupire comme une biche.

Je dois me faire à l’idée, il n’y aura aucune chaleur humaine dans mon lit pendant le temps des fêtes à part les chats de Cybèle qui se faufilent dans ma chambre à l'occasion.. 


En attendant, un jeu sur internet m’occupe, je fais éclater des bulles comme on égrène un chapelet…WOW!!! c’est toute une activité pour se remonter le moral.

Lolo la plus…plus…plus…qu’imparfaite XXX
Voilà, c’est dit. Se plaindre rend malade physiquement.

Une étude publiée par l’Université de Stanford révèle que le fait de se plaindre de façon quotidienne et de cultiver de l’énergie négative, discipline favorite pour certaines personnes, peut rendre malade physiquement et contribue à développer des problèmes de santé importants.

Le piège de se plaindre est subtil, car lorsque l’on se plaint, on a bien souvent l’impression que l’on se libère de quelque chose, qu’on libère les tensions, mais c’est tout le contraire que notre cerveau et notre corps comprend.
Dans l’étude, on apprend que le cerveau adore la simplicité et la répétition, ce qui fait en sorte que lorsqu’on répète une action ou une parole, en l’occurrence se plaindre de façon quotidienne, celui-ci emmagasine cette routine et tend à la reproduire de façon naturelle.
Cette «routine plaignarde» fait en sorte qu’éventuellement pour l’individu, être négatif deviendra beaucoup plus facile que d’être positif. De plus, ce cercle vicieux change l’image des gens envers l’individu, ce qui n’est jamais positif.
On apprend aussi dans l’étude que se plaindre crée des dommages à une région du cerveau, l’hippocampe, essentielle à la résolution de problèmes et à l’intelligence. C’est aussi une des premières régions du cerveau attaquées par la maladie d'Alzheimer

Pas encore convaincu d’arrêter de «chialer»?
Les dommages causés par le fait de se plaindre vont plus loin que ceux du cerveau.
Lorsque l’on se plaint, on crée du stress. Ce stress fait en sorte que le corps libère une hormone qui se nomme le cortisol.
Le cortisol est cette hormone qui est utilisée habituellement en cas d’immense stress, d’urgence ou peur pour sa vie. Le cortisol prend l’oxygène, le sang et l’énergie du corps pour la diriger essentiellement vers cet «état de survie» auquel le corps pense devoir faire face.
Cette production du cortisol fait augmenter la pression artérielle et le taux de sucre dans le sang, ce qui, de façon répétée, est nettement dommageable pour la santé.
Le surplus de cortisol sécrété à cause de l’énergie négative affaiblit le système immunitaire et favorise l’apparition du cholestérol, du diabète, des maladies cardio-vasculaires et de l’obésité.
Les preuves sont là.  À Go, on devient positif la gang!
Don’t worry be happy, disait l’autre?
http://www.journaldemontreal.com/2016/09/12/se-plaindre-quotidiennement-rend-malade-physiquement

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