J’en reviens pas….
Je comptabilise mes statistiques de pages vues sur mon blogue et en fin de semaine la barre est montée à plus d’un millier.
Du jamais vu!!!
Pour moi, le texte de Stéphane Laporte a fait des petits, c’est extraordinaire le pouvoir du partage.
Dommage que cela ne remplit pas ma tirelire.
Je sens un vent d’espoir face à toutes les informations divulguées ces derniers jours sur les Rois du pouvoir, c’est-à-dire Rozon et Salvail, les invités à l’émission Tout le monde en parle m’ont vraiment émue.
La boule de neige va devenir un Iceberg, si tout le monde commence à dénoncer l’inacceptable qui nous vampirise.
"Mon père, que je ne cite pas souvent, disait que le plus grand danger qui guette un homme pendouille entre ses jambes.( Boucar Diouf)On ne cachera plus les histoires inacceptables sous le thème de <complots et conspirations>, alors, les vérités pourront naître afin d’éveiller quelques consciences.
Lolo la plus que parfaite XXX
Une nouvelle recherche révèle que se plaindre vous rend littéralement
malade et vous tue à petit feu
Une nouvelle recherche révèle que se plaindre vous rend littéralement
malade et vous tue à petit feu
Tout le monde le fait à un moment ou un autre, mais jusqu’à quel point
la plainte est-elle bonne pour la santé? On pourrait la considérer comme une
simple décharge de frustration et la justifier comme un moyen nécessaire pour
rester sain d’esprit.
La personne moyenne se plaint au
moins une fois par minute au cours d’une conversation.
Ètant donné que nous faisons tous l’expérience de la négativité ou de
situations non désirées dans notre vie, c’est un terrain d’entente sûr lequel
nous pouvons tous nous identifier.
En fin de compte, rien ne change vraiment grâce à nos plaintes ou tous
les sentiments et pensées négatifs que nous dissipons et qui finissent par nous
affaiblir.
Axés à l’origine sur le négatif comme un moyen de survie, nous aurions
tendance à être plus en accord avec ce que nous ne voulons pas ou apprécier de
le changer (d’y apporter un changement). Plus nous posons notre regard sur
quelque chose qui peut être blessant, plus nous sommes programmés pour être sur
nos gardes.
Se plaindre est une façon de reconnaître un problème sans essayer de le
régler. Cela alimente le problème avec plus d’énergie et crée plus de stress.
Les plaintes
sont à égalité avec le tabagisme lorsqu’il s’agit de notre système de soins
de santé.
Le stress causé par le fait de se plaindre endommage constamment les
neurones dans l’hippocampe et altère sa capacité à créer de nouveaux neurones
ou des chemins neuronaux. L’hippocampe est la partie du cerveau utilisée pour
résoudre les problèmes et le fonctionnement cognitif.
Lorsque vous écoutez quelqu’un d’autre se plaindre cela vous affecte de
la même manière que si c’était vous-même qui vous plaigniez. Voici quelques
façons de limiter les effets de la plainte.
Définissez la plainte, suivez sa fréquence et prenez conscience à
chaque fois que vous vous plaignez et pourquoi vous le faites
Une plainte et une constatation sont différentes dans le sens où l’une
est une déclaration et l’autre est un sentiment ou une opinion jointe
Soyez attentif lorsque vous annoncez une plainte et jusqu’à quel point
vous le faites. Vous pouvez le faire devant votre écran ou même en vous parlant
à vous-même. Comprendre à quel point cela est un vrai problème est une première
étape.
Prenez vos distances avec les pleurnicheurs incorrigibles
Maintenant que vous savez à quel point il est nuisible d’être entouré
de personnes qui se plaignent constamment. Si vous êtes coincé dans une
situation ou un lieu, essayez d’être proactif et productif vis à vis des
problèmes, et proposez des solutions.
Transformez la plainte en quelque chose d’autre
Par exemple avec des déclarations positives telles que, « Je
n’aime pas conduire pour aller au travail, mais je suis reconnaissant
d’avoir un emploi ». Ne laissez pas vos paroles finir sur une
note négative.
Une autre excellente façon de le faire est par le changement, le « Je dois aller au travail » peut être remplacé par, « J’ai la chance d’aller travailler aujourd’hui ».
Une autre excellente façon de le faire est par le changement, le « Je dois aller au travail » peut être remplacé par, « J’ai la chance d’aller travailler aujourd’hui ».
Une des meilleures façons de retirer les déclarations négatives dans
votre vie est en retirant de vos phrases le mot « Je » ou
« Moi ». Faites ce que vous avez à faire mais évitez de tirer
l’attention sur vous-même si vous ne parvenez pas à être positif.
Sources
Sandra Véringa
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