Je profite de mon dimanche pour ne rien faire, c’est-à-dire…je joue à mon jeu de mots qui devrait stimuler un peu mes neurones, je check mes e-mails… quelques ptits tours sur Face Book et j’écris dans ma chambre à l’air frais.
Bienvenue l’été
J’étais avec Emman et Emmy à St-Agathe depuis vendredi soir.
On est allée à la plage hier après-midi, une belle surprise de voir Emmy s’amuser dans le sable avec toute une équipe d’amies. Elle était un amour toute la fin de semaine.
Dans la soirée Emman invite les deux voisines roumaines à partager notre feu de camp, une vraie soirée de filles à placoter et faire connaissance bien installée dans les balançoires.
Monica et sa fille Béatrice de treize ans qui parle aussi vite que son ombre, avec ses cinq pieds huit pouces, elle pourrait devenir une future Nadia Comaneci avec tous les sports qu'elle pratique. Sa mère, ancien professeur de mathématique dans son pays, l'entraine à la gymnastique des chiffres en souhaitant un meilleur avenir pour sa fille dans un pays où les diplômes sont reconnus à travers la planète.
Mes projets pour la semaine ne sont pas trop compliqués, j’ai inscrit dans mon agenda ‘’grenouille dans la piscine d’Emman’’ pour les trois prochains jours de canicule.
Lolo la plus que parfaite XXX
La bonté est définie, dans le dictionnaire, comme une
inclination à faire le bien. Le problème est que « le bien » est un
concept relatif. Une acception plus précise consisterait à dire que la bonté
est la capacité à sentir de la compassion. En d’autres termes, ressentir
la souffrance des autres comme si elle était nôtre et s’efforcer d’y remédier.
« C’est en recherchant le bien de nos semblables que nous trouvons le nôtre. »-Platon-
Cette belle vertu ne s’applique pas seulement aux autres
êtres humains. La bonté s’exprime aussi face à tous les êtres
vivants. Elle serait même applicable à ce qui ne vit pas, dans la mesure
où elle implique une envie de préserver ce qui est. Il y a de la bonté, par
conséquent, devant une peinture, ou une pierre qui se trouve au milieu d’un
chemin.
La bonté est une vertu supérieure car elle
implique beaucoup d’autres vertus. L’amour, le respect, la fraternité, la
générosité et beaucoup d’autres s’y mêlent. Elle suppose ainsi une évolution
spirituelle et mentale importante. Grâce à diverses études, on a aussi pu
vérifier qu’il s’agit d’une faculté qui se trouve dans le cerveau et qui
constitue la base d’une qualité de vie significative.
L’aire cérébrale de la bonté
Un groupe de scientifiques de l’Université d’Oxford et de
l’University College de Londres ont identifié une aire du cerveau qui semble
être reliée à la bonté. L’équipe, dirigée par le docteur Patricia
Lockwood, a travaillé avec un groupe de volontaires. On leur a demandé de
découvrir les symboles qui leur étaient bénéfiques et ceux qui étaient
bénéfiques à d’autres personnes.
Pendant que les volontaires effectuaient ce travail, leurs
cerveaux étaient contrôlés à travers des résonances
magnétiques. L’expérience menait les sujets étudiés à examiner et estimer
la façon dont les symboles pouvaient aider d’autres personnes. Ils
devaient toujours déterminer si chaque symbole leur était utile personnellement
ou s’il était aussi utile à d’autres.
Lorsque chaque volontaire découvrait la manière dont le
symbole aidait les autres, seule une aire du cerveau s’activait. Cette
zone s’appelle le « cortex cingulaire antérieur ». Bien sûr, la bonté
n’est pas seulement une question de fonctionnement cérébral. Souvenons-nous que
ce merveilleux organe a une plasticité énorme et que ce sont les expériences et
les comportements qui confirment peu à peu son fonctionnement.
La bonté soigne le cerveau
Le neuropsychologue Richard Davidson a mené une recherche à
l’Université du Wisconsin, juste après avoir réalisé un voyage en Inde. En
1992, il rencontra le Dalaï- lama, qui lui posa une question. Elle le
marqua pour toujours. Il lui demanda : « J’admire votre travail, mais
je considère que vous êtes trop centré sur le stress, l’anxiété et la
dépression. N’avez-vous jamais songé à centrer vos études
neuro-scientifiques sur l’amabilité, la tendresse et la compassion ? ».
Richard Davidson a réalisé diverses études autour de cette
question. Il a découvert, par exemple, que certaines structures du cerveau
peuvent changer en deux heures seulement. Un esprit calme produit
un bien-être global. Et pour avoir un esprit calme, il faut à peine
deux heures de méditation. Cela a été mesuré scientifiquement dans son
laboratoire.
Il a par ailleurs trouvé que les circuits neuronales de
l’empathie ne sont pas les mêmes que ceux de la compassion. Pour arriver à
la compassion, une autre forme de bonté, il faut passer par le chemin de
la sensibilité, de la sympathie et de l’empathie. La compassion se
situerait à un niveau supérieur. Il s’agit d’un point plus élevé dans la
capacité de percevoir, de sentir et de comprendre la souffrance de l’autre.
Elle suppose un appel à l’action face à la douleur d’autres personnes.
Davidson a également découvert que l’amabilité et la
tendresse font augmenter le bien-être dans différents domaines de la
vie. Dans une étude réalisée avec des enfants et des adolescent-e-s,
plusieurs changements cérébraux ont été remarqués quand on leur apprenait à
faire preuve de plus de compassion et de tendresse. Tou-te-s présentaient de
meilleurs résultats à l’école et avaient une meilleure santé. La capacité à
être compatissant-e peut donc être entraînée. La bonté est le résultat d’un
profond travail intérieur.
Source: https://nospensees.fr/
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Partagé et transmis par Michel/Arcturius.
Transmettez l'intégralité du texte, et faite référence à la source originale
Merci de mentionner Les Chroniques d’Arcturius
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Penser à faire preuve de discernement par rapport à ces textes.
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