lundi 31 juillet 2017

Un beau Dimanche ensoleillé


Un beau Dimanche ensoleillé m’a fait découvrir la fameuse Marina de Répentigny avec un ami.

Depuis plus d’un an que j’entends parler de cette fameuse marina ou je n’osais m’aventurer. À première vue, cela ressemble à un club de l’âge d’or du coin, mais honnêtement, j’estime la moyenne d’âge dans la cinquantaine et plus, je m’y sentais tout à fait à l’aise.

C'était toute une surprise, car au départ, je m’imaginais une clientèle très jeune. mais non, une clientèle de retraités célibataires ou pas.
Une belle piscine accueillante, une terrasse directement sur le bord de l’eau, de la musique à l'intérieur pour ceux ou celles qui veulent danser, c’était agréable pour une journée d’été aussi chaude si on a le goût de prendre un peu d’air naturellement.

Dommage pour la clientèle, car il parait qu’ils vont démolir l’endroit afin de construire des condos de plusieurs étages, comme tous les autres qui sont autour. 

En tout cas, cela m'a fait un bien fou surtout en bonne compagnie.

Lolo la plus que parfaite xxx

Faire le meilleur choix revient à écouter la voix du cœur, celle qui porte vers le haut; et non le cri de l’ego, qui est le choix de la peur.
Lorsque l’on doit choisir entre deux chemins, il est toujours préférable d’opter pour le choix du cœur, celui qui nous veut du bien. Mais, sommes-nous prêts pour cela ?

En effet, même si le choix le plus beau parait le plus évident, parfois, nous ne sommes pas encore à même de prendre cette voie. Et si nous ne sommes pas prêts, cela revient à dire que notre meilleur choix est de ne pas faire le choix le plus beau, qui est celui du cœur. Alors, même le choix le moins lumineux reste une bonne décision.
Comprenons ceci, il n’existe pas réellement de mauvaises décisions, il existe seulement nos choix, ceux qui résonnent le mieux avec notre niveau de conscience du moment. Et chaque choix que l’on fait représente toujours une forme de bienveillance envers soi même.

Par exemple, si je me sens vraiment mal dans mon emploi actuel, une petite partie de moi aura l’envie de changer de métier, tandis qu’une autre grande partie aura peut-être peur de ce changement. Le choix le plus correct serait évidemment de changer d’emploi, mais, n’étant pas encore prête pour cela, l’option qui respectera au mieux mes besoins du moment sera de rester.
Au final, garder cet emploi n’est pas réellement un mauvais choix, car c’est la position qui me rassure ici et maintenant, c’est celle qui me fait le moins souffrir.
Bien entendu, je ne peux rester éternellement dans une situation qui engendre de la souffrance, il me sera donc vivement recommandé de travailler sur ma peur du changement afin d’oser sortir de ma zone de confort et m’aligner sur mes envies et non mes peurs. La douleur est un signal d’alarme que je dois écouter et comprendre, elle indique toujours une situation à corriger.
Mais, quoi qu’il en soit, mon meilleur choix du moment est de garder mon emploi puisque je ne suis pas encore prête pour autre chose. Tout en comprenant bien que la vie n’est qu’évolution et que je ne dois pas rester éternellement agrippée à une situation pas bonne pour moi.

Par ailleurs, il est peine perdue de comparer les choix des uns et des autres entre eux, chaque personne étant différente, chaque choix le seront eux aussi. Pour revenir à mon exemple, peut-être que j’aurais du mal à changer de métier par peur de l’inconnu, tandis que mon amie qui raffole de nouveauté sera quant à elle ravie d’avoir une opportunité de changer d’activité. Certainement ne comprendra-t-elle pas mon souhait de garder un emploi dans lequel je me sens mal, elle dira que je fais un mauvais choix, pourtant, je fais bel et bien le choix le plus approprié pour le moment, celui de la bienveillance.

Il en est de même avec notre passé, on se reproche souvent nos mauvais choix d’hier, pourtant, au moment où nous faisions ces choix ils étaient les plus appropriés, sinon nous aurions fait autrement. Il n’y a donc aucun regret à avoir. Nous faisons toujours de notre mieux, et même si un bon choix d’hier peut parfois se révéler négatif par la suite, n’oublions pas qu’au moment de la décision nous avions fait au mieux, donc le meilleur choix. À nous maintenant d’en tirer des enseignements.

Être responsable c’est prendre conscience que chaque décision correspond à nos besoins du moment, mais aussi comprendre que lorsque ces besoins sont liés à la peur un travail intérieur doit être à envisager.

Par exemple, si je souffre dans ma relation amoureuse, mais que je ne souhaite pas la briser, car je suis angoissée à l’idée de me retrouver seule, il est vrai que je reste par peur, mais si je ne suis vraiment pas prête à voler de mes propres ailes il est peut-être alors préférable de rester ainsi pour le moment, le temps de faire un travail sur moi-même.

Dans ces conditions, rester sera le choix le moins douloureux malgré tout. Le mot clé est « pour le moment », car rester sans chercher un jour à se libérer de ses peurs serait de l’autosabotage.
Ainsi, mon meilleur choix d’aujourd’hui est de rester, le temps de trouver la clé qui me poussera à faire un choix encore plus grandiose : celui de partir.

C’est pourquoi une décision n’est jamais réellement mauvaise, puisqu’elle correspond à nos besoins du moment. Besoins qui doivent peu à peu s’effacer au profit des envies, les besoins couvrent des manques tandis que les envies nourrissent notre être.

Ainsi, il n’existe que des bons choix, même s’ils sont maladroits, car agir avec bienveillance envers soi même est déjà faire le meilleur choix.

J’encourage chacun à accepter pleinement son passé, ses choix, ses expériences, car on ne peut avancer sous le poids de la culpabilité.
Et dans la mesure du possible, optons pour les choix les plus grandioses, car ils sont ceux qui éclairent notre voie de la plus belle et la plus juste des lumières.

Émilie

http://www.inspirant.fr/faire-le-meilleur-choix-haut.html

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