lundi 23 janvier 2017

Et si la maladie n’était pas un hasard du Dr. Pierre-Jean Thomas-Lamotte


Du bien beau monde au billard hier après-midi.

Malheureusement, les hommes qui m’intéressent ne s’intéressent pas à moi et ceux qui s’intéressent à moi ne m’intéressent pas.

Un ptit ménage dans mes amours en fin de semaine fait toute la différence, je me retrouve seule à vivre avec moi-même.


Apprendre à tomber en amour avec moi-même n’est pas évident. J’ai beau dire <Lorraine je t’aime> comme le suggère les livres et les articles sur les sujets du développement personnel, mais le lire, le sentir et le mettre en pratique dans mon quotidien est aussi difficile que d’apprendre à nager dans une barboteuse.

L’amour de soi, en tout cas pour moi, se manifeste par petits moments un peu comme une balançoire qui bouge par l’effet du vent. Par contre, je m’y applique quotidiennement et quand j’y arrive je suis très fière de moi.

En étant seule, j'ai en masse le temps de me regarder le nombril, mais comme dit la maxime <qui analyse trop... paralyse> je ne veux surtout pas me retrouver avec une maladie psychosomatique comme dans l’article suivant. 


En attendant,  je m'occupe de Zézette en fin de journée alors l'introspection je remettrai ça à plus tard. 

<Et si la maladie n'était pas un hasard ? Et si elle n'était que la réponse organisée par notre corps pour compenser nos petites et grandes déceptions émotion­nelles de la vie ?>

Lolo la plus qu’IMPARFAITE XXX


Et si la maladie n’était pas un hasard du Dr. Pierre-Jean Thomas-Lamotte 
Quelques mois après son divorce, une femme développe un cancer du sein. ° Un cadre supérieur vit dans la hantise permanente de ne pas répondre aux attentes de la nouvelle direction et se retrouve avec un ulcère à l'estomac. ° Après une rupture sentimentale, un journaliste de 28 ans fait une crise cardiaque, inexplicable du corps médical, illustrant parfaitement l'expression «avoir le coeur brisé». ° À l'âge de quatre ans, le chanteur Ray Charles assiste impuissant à la noyade de son petit frère de trois ans. Six mois plus tard, il devient totalement aveugle.

° Une femme est invitée à quitter son poste du jour au lendemain pour être remplacée par plus jeune qu'elle. En deux jours, elle développe une infection. «Un directeur de banque vit une prise d'otage. Quelques mois plus tard, un virulent cancer se développe. «Un enseignant vit dans la crainte d'être muté et quelques jours après la nouvelle de la mutation, il fait une hémorragie cérébrale. ° Une fois retraité, un diplomate de carrière entre dans une dépression chronique.

° À force de s'angoisser pour la santé de son mari au chômage, sa femme finit par vivre plusieurs malaises. ° Un attaché commercial se découvre un psoriasis à la suite d'un conflit de territoire avec l'un de ses collègues.

Et si la maladie n'était pas un hasard ? Et si elle n'était que la réponse organisée par notre corps pour compenser nos petites et grandes déceptions émotion­nelles de la vie ? Après avoir examiné des milliers de patients, le Dr Thomas-Lamotte, neurologue français, a développé une approche différente des symp­tômes de ses patients : pour lui, la plupart des maladies que nous développons ont pour origine une émotion inavouée et le simple fait de comprendre ce mécanisme nous permettrait déjà de les éviter. L'expression populaire : "s'en rendre malade "trouve dans ce livre sa plus belle illustration avec les clés pour décoder nos déceptions et comment les empêcher d'agir sur notre corps.                  
http://stopmensonges.com/et-si-la-maladie-

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